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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 11:00
Soupe aux petits pois et à la roquette

Nous avons testé pour vous…. Et nous nous sommes beaucoup régalés…

 

Il faut à peu prés 35 minutes pour la préparer. La quantité est bien pour un repas (souper de préférence) pour deux personnes. Et croyez-moi, cette soupe est vraiment bonne !

 

Ingrédients : 

  • 1 cuillère à soupe de beurre
  • 1 oignon haché
  • 350 g de pois surgelés ou frais (si vous devez les écossez, prenez 1 kg de pois frais)
  • 5 dl de bouillon de légume
  • 5 gouttes de Tabasco vert
  • 75 g de fromage frais de chèvre émietté.

Préparation :

  • Mettez le beurre dans la poêle, y jeter l’oignon haché, le faire suer
  • Ajoutez les petits pois que vous faites suer 5 minutes
  • Versez le bouillon puis baissez le feu
  • Laissez mijoter sur feu doux, à couvert, durant 25 minutes
  • Réduire en purée, personnellement j'ai rajouté un peu d’eau car c’était assez épais
  • Passez au chinois, sauf si vous aimez avoir des petits morceaux
  • Assaisonnez de quelques gouttes de Tabasco vert
  • Dans l’assiette vous y déposerez des petits morceaux de chèvre émiettée ainsi que des petites feuilles de Roquette
  • Servez aussitôt.

Nous n’avions pas de fromage frais de chèvre, j'ai donc pris du fromage de chèvre « biquette » à la Migros coupée en tranche en retirant la peau.

 

A la place de la roquette j'ai mis un petit mélange de salade que nous avions chez nous et ça va très bien aussi.

 

Essayez cette soupe et faites-nous part de vos commentaires !

 

Céline

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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 07:00
La citation du jour

"Le but de la musique devrait n'être que la gloire de Dieu et le délassement des âmes. Si l'on ne tient pas compte de cela, il ne s'agit plus de musique mais de nasillements et beuglements diaboliques."

  

Jean-Sébastien Bach

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 15:00
Etre au bout du rouleau
Etre au bout du rouleau
Etre au bout du rouleau

"Je n'en peux plus, je suis épuisé, vidé, claqué, bref je suis au bout du rouleau !" 

 

Personnellement, il m'arrive encore d'utiliser cette expression un peu plus de 9-10 ans après avoir été victime d'un burn-out...

 

Pourquoi utiliser le terme "au bout du rouleau" pour dire que l'on est fatigué, lassé, voire même épuisé ?

 

Jusqu'au Moyen Age, le "role" était une sorte de bâton d'ivoire ou de buis sur lequel les anciens collaient des parchemins, et qui faisait office de livre. Plus tard, ce mot s'est transformé et a servi à désigner d'autres types d'objets. Quand le parchemin était de petite taille, on l'appelait un "rollet". Ce nom s'est appliqué au domaine du théâtre où l'on disait d'un comédien qui avait obtenu un petit rôle qu'il avait un "rollet", soit : peu de répliques, et par extension, peu d'arguments. A partir du mot "role" est également apparu le "rouleau", diminutif de "role de papier", et qui désignait les rouleaux de papier que l'on connaît encore aujourd'hui et qui servaient déjà à l'époque à ranger les pièces de monnaie. "Être au bout du rouleau" signifiait donc ne plus avoir de ressources, avoir utilisé toutes ses pièces. Aujourd'hui le sens est le même mais s'est étendu à tout type de ressources physiques ou morales.

 

Alors que vous soyez ou non "au bout du rouleau"... je vous souhaite de passer une agréable semaine !

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 07:00
La pensée du jour

Ci-dessous, j'aimerai juste partager cette jolie pensée avec chacun(e) d'entre vous. Je profite de cette occasion pour vous remercier pour votre fidélité envers notre blog. Merci aussi pour vos commentaires qui sont le plus souvent très encourageants même si ils ne sont pas toujours publiés par respect de confidentialité.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

 

 

" Vis le jour d'aujourd'hui,
Dieu te le donne, il est à toi.
Vis-le en Lui.

Le jour de demain est à Dieu,
Il ne t'appartient pas.
Ne porte pas sur demain
le souci d'aujourd’hui.
Demain est à Dieu,
remets-le lui.

Le moment présent est une frêle passerelle.
Si tu le charges des regrets d'hier,
de l'inquiétude de demain,
la passerelle cède
et tu perds pied.

Le passé ? Dieu le pardonne.
L'avenir ? Dieu le donne.
Vis le jour d'aujourd'hui
en communion avec Lui.

Et s'il y a lieu de t'inquiéter pour un être aimé,
regarde-le dans la lumière du Christ ressuscité. "

 

(Odette Prévost,  petite Soeur de Charles de Foucauld)

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 15:00
Comment faisions-nous avant ?

Cet article est dédié à toutes les personnes qui sont nées entre 1955 et 1980 (et avant)... avec un certain brin de nostalgie !

 

La vérité c'est que je ne sais pas comment nous avons pu survivre à notre enfance !! En y pensant, il est difficile de croire que nous avons survécu...

 

On voyageait dans des voitures sans ceintures de sécurité, sans sièges spéciaux et sans Airbag, on faisait des voyages de 10-12H avec 5 personnes dans une Renault 4 ou une Mini et on n'avait pas le syndrome de la classe Touriste.

 

Nous n'avions pas des portes avec protections, des armoires ou des boites de médicaments avec des couvercles spéciaux pour enfants. On allait à vélo sans casque, sans protections pour les genoux ni les coudes. Les balançoires étaient de métal avec des coins pointus et nous jouions pour voir qui était le plus fou.

 

On passait des heures à construire nos "véhicules" avec des bouts de roues pour descendre les côtes et alors seulement nous découvrions que l'on avait oublié les freins. Après s'être éclatés contre un arbre, on apprenait à résoudre le problème.

 

On jouait au "mouchoir" et aux "gendarmes et aux voleurs" et personne ne souffrait d'hernies ou de vertèbres déplacées. On sortait de la maison le matin et jouait toute la journée, et on rentrait seulement quand les lumières de la rue s'allumaient.

 

Personne ne pouvait nous localiser. On cherchait du bois dans les poubelles ou n'importe où et on faisait des cabanes pour passer un moment dedans. Il n'y avait pas de portables. On se cassait les os et les dents et il n'y avait aucune loi pour punir les coupables.

 

On s'ouvrait la tête en jouant à la guerre avec des pierres et tout se passait bien, c'était des trucs d'enfants et on se soignait avec du mercurochrome (rouge) et quelques points de suture et le jour suivant on était tous contents. La moitié de nos compagnons de classe avait le menton cassé ou quelques dents en moins, ou une bosse à la tête.

 

On se battait et on se mettait sur la tronche les uns aux autres et on apprenait à le surmonter.

 

On allait en classe chargé de livres, tous mis dans un sac à dos qui, rarement, avait des renforts pour les épaules et encore moins souvent des roues !!! On mangeait des bonbons et on buvait des sodas mais sans être obèses. Oui des fois certains étaient gros comme dans tous les groupes. On était toujours en train de courir et jouer en plein air. On partageait des boissons et personne ne tombait malade.

 

On attrapait seulement des poux dans les cheveux, et nos mères arrangeaient tout ça en nous lavant la tête avec du vinaigre chaud.

 

On n'avait pas de Playstation, ni de Nintendo 64, de jeux vidéos, 99 chaînes de télé, des films en DVD, le Son Surround, des portables, des ordinateurs ni Internet, mais on s'occupait en lançant des bombes à eau et en se battant sur le sol, déchirant nos vêtements.

 

Nous, oui, on avait des amis. On se donnait rendez-vous et on sortait ensemble. on n'avait pas de rendez-vous, on sortait dans la rue et là on se rencontrait et on jouait aux billes, à cache-cache ... que du high-tech ! On y allait en vélo ou en marchant jusqu'à leur maison et on appelait à la porte. Imaginez-vous ! sans demander la permission aux parents, et on allait seul, là, dehors, dans ce monde cruel ! sans personne de responsable !! Comment avons-nous fait ??!!

 

On inventait des jeux avec des bouteilles, des bouts de bois et des ballons de foot improvisés.

 

On buvait l'eau directement du robinet dans les fontaines publiques où les chiens avaient bu !

 

On allait chasser des lézards et des oiseaux avec un fusil à plomb avant d'être majeur et sans adulte.

 

Aux jeux, à l'école, il n'y avait pas tout le monde qui participait.. Ceux qui n'y participait pas, devaient surmonter seul la déception. Quelques écoliers n'étaient pas intelligents comme les autres et devaient redoubler. Ils n'avaient pas inventé les examens de rattrapage !!!

 

Et on sortait avec des filles en les persécutant pour leur toucher les fesses et on jouait à leur faire des bisous, avec audace et pour de vrai !! On était responsable de nos actions et on assumait les conséquences.. Il n'y avait personne d'autre pour décider. L'idée d'un père nous protégeant, si on transgressait une loi, était inadmissible, et si notre père nous donnait une correction ou une claque, on se taisait ...

 

On était libre, il y avait des hauts et des bas, des responsabilités et on apprenait à grandir avec tout ça...

 

En 2011 tout est devenu (trop) politiquement correct. Il y a une foule de lois pour tout et surtout pour rien et nos enfants vivent la plupart du temps dans un monde virtuel... bref, nous vivons dans un monde devenu qui marche sur la tête ! 

 

Bien  vous !

 

Georges Musy

Comment faisions-nous avant ?
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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 11:00

Si vous désirez passer 4 minutes de pure détente, je vous invite à écouter ce sketch de Roland Magdane "le régime Quiberon" qui figure dans son dernier spectacle... Un vrai délice ! 

 

Roland Magdane 10

 

Comme à son habitude, donc sans vulgarité, Roland Magdane nous régale à travers l'un de ses meilleurs sketch de la dernière décennie ! Alors, amusez-vous bien en cliquant sur cette vidéo

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 07:00
C'est la fin des haricots
C'est la fin des haricots

Quand arrive la fin des haricots, c'est la dèche... En période de crise (financière ou autre), on dit parfois que "c'est la fin des haricots", la fin de tout en quelque sorte...

 

D'où vient cette expression ? Au siècle dernier, on distribuait dans dans les internats des haricots aux élèves quand on ne savait plus quoi leur donner en guise de nourriture. En effet, le haricot était considéré comme un aliment de base, voire médiocre. Quand il n'y avait même plus de haricots à manger, c'était la fin de tout. C'est de là que provient l'expression, que l'on emploie quand on veut signifier que "c'est la fin du monde", souvent de façon ironique.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:30

Bonjour, vous êtes toutes et tous cordialement invité(e)s à la conférence sur le burn-out que je donnerai ce vendredi 30 septembre 2011 à 20h00 dans les locaux de l'Eglise Evangélique EESV, Sous-Ville 3 (près de la gare CFF) à Avenches...

 

L'entrée est totalement LIBRE et vous êtes les bienvenu(e)s !

 

Burn-out 26 

 

Sachez qu'il y a une ou plusieurs issues au burn-out ! Et il y a également une nouvelle vie après le burn-out !

 

Je reste volontiers à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire dont vous pourriez avoir besoin.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 07:00
La citation du jour

"Il n'y a pas de vent favorable pour le bateau

qui ne connait pas son port."

  

Sénèque

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 07:00
La pensée du jour
La pensée du jour

Voici une des paroles de Jésus qui a marqué ma manière de vivre depuis quelques années déjà. Permettez-moi de la partager avec vous...

 

"Ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux." (Luc 6; 31) ou "Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, vous aussi, faites-le de même pour eux..." (Matthieu 7; 12)

 

Cela m'encourage vraiment à faire les choses de manière différente, soit du mieux possible, surtout vis-à-vis de mon prochain, que je le connaisse ou non...

 

Et parfois il m'arrive de penser que je pourrai justement être à la place de la personne que j'ai en face de moi et j'apprécierai d'être bien traité en toute circonstance... peu importe ma couleur de peau, mon statut social, ma religion, etc.

  

Bien à vous !

 

Georges Musy 

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