Bienvenue à toutes et à tous sur notre nouveau blog familial !
Céline et moi avons à cœur que vous puissiez parcourir les différents thèmes traités sur le présent blog qui est aussi un peu le vôtre à partir du moment que vous vous y intéressez...
Vous avez également la possibilité de visiter les divers liens Internet que nous vous recommandons. Cela vous aidera peut-être à trouver des réponses à certaines questions que vous vous posez.
Notre but est le partage ainsi que la critique objective et constructive de votre part. Nous désirons aussi vous présenter la plus grande diversité possible de sujets. Pour cette raison, nous avons besoin de vous et de vos commentaires...
Comme vous pourrez le constater au fil du temps, notre blog se rapproche davantage d’un site Internet que d’un blog traditionnel. Il sera remis à jour très régulièrement avec l’insertion de nouveaux articles et/ou de nouvelles photos/vidéos de manière à le rendre attractif et vivant !
Nous espérons que vous aurez du plaisir à nous rendre visite. De notre côté, nous vous disons merci d’être ici en cet instant… et vous souhaitons de passer un agréable moment sur notre blog !
Georges & Céline
Personnellement, je suis un fervent défenseur de la langue française et j'ai horreur des anglicismes utilisés pour un oui ou pour un non, que ce soit dans la vie courante de tous les jours ou, pire encore, sur notre lieu de travail surtout quand nous n'avons pas à travailler avec des interlocuteurs étrangers à notre belle langue française...
Je me suis donc dit que de temps en temps j'allais mettre quelques expressions de la langue française sur notre blog, histoire de ne pas oublier notre culture... Alors voici la première d'entre elles : "être à la bourre."
Autrefois, "être à la bourre" signifiait que l'on était pauvre, dans la misère. Cette expression serait née d'un jeu de cartes appelé "bourre". Celui-ci pouvait se jouer à deux, trois ou quatre.
Tous les joueurs misaient la même somme, et le tout était ensuite partagé entre eux en fonction du nombre de plis que chacun avait levé. Lorsque l'un d'eux n'avait fait aucune levée, on disait alors qu'il était "bourru". Au fil des manches, il était possible de ramasser un bon paquet d'argent, si bien que celui qui "bourrait" était celui qui avait perdu toute sa fortune, qui avait pris du retard dans le nombre de plis amassés. Par extension, "être à la bourre" est entré dans le langage courant pour signifier qu'une personne est en retard.
Je dois vous laisser... car là, je suis vraiment à la bourre !
Bien à vous !
Georges Musy
Salut à toutes et à tous !
Dimanche passé, soit le 8 mai 2011, j'ai effectué mon baptême de l'air...
Rappelez-vous, c'était le dimanche de la fête des mamans...
Et ma maman elle fêtait justement ses 40 printemps ce jour-là !
Donc papa nous a invité à faire un vol à bord d'un Cessna 172 au départ de l'aéroport d'Ecuvillens, dans le canton de Fribourg.
Nous avons survolé une partie de la Gruyère
(ci-dessous, le viaduc de la Gruyère sur l'autoroute A12)...
Vous pouvez apercevoir Charmey dans le fond...
La Valsainte ci-dessous...
Puis le lac Noir...
Les Gastlosen...
Leysin...
Le château de Chillon...
Puis un petit tour sur le lac Léman à proximité de Montreux...
Et de Vevey...
Puis retour à Ecuvillens...
46 minutes de vol au total ! Que du bonheur !
Merci papa pour ce joli cadeau !
A la droite de l'Hôpital des rois catholiques et face à la façade de l'Obradoiro de la cathédrale se dresse cet énorme bâtiment néoclassique qui fut projeté par le français, Charles Lemaur, en 1766, à la demande de l'archevêque Bartolomé de Raxoi.
Il fut construit en seulement 6 années, ce qui est un record ! Son auteur s'inspira de l'Académie de Paris.
La Façade principale, longue de 90 mètres, repose sur une arcade de granit. Il est courroné par un beau fronton sur lequel José Gambino et José Ferreiro (sculpteurs) réalisèrent, sur marbe blanc, une représentation de la bataille de Clavijo.
D'après la légende, l'Apôtre Jacques participa activement dans cette bataille contre les arabes. C'est pour cela qu'il devint patron d'Espagne et de la Chevalerie.
Le fronton est couronné à son tour par une statue équestre de l'Apôtre, oeuvre du scuplteur José Ferreiro.
Il fut construit à l'origine afin de pouvoir accueillir le Séminaire des Confesseurs et résidence des enfants de Choeur de la cathédrale. Mais au long des années, ses usages furent divers.
Il est actuellement le siège de l'Hôtel de Ville de Santiago de Compostela,
du Ministère de la Culture Galicien et d'autres dépendances de la Xunta de Galicia.
Bien à vous !
Georges Musy
A l'origine, la Place de l'Obradoiro portait le nom de la Place de l'Hôpital.
Par la suite, son nom fut changé en l'honneur à la célèbre façade
de la cathédrale de Santiago.
En fait, ce nom provient de l'atelier des tailleurs de pierres (Obradoiro en galicien) qui y fut installé lors de la construction de cette façade.
La grande place est aussi considérée comme étant le centre de la ville et réunit, dans ses différents bâtiments, une véritable synthèse de l'art.
Art roman, avec le collège de San Xerome (en face et sur la droite)...
Art renaissant, avec l'Auberge des rois catholiques...
Art baroque, avec la façade de la cathédrale...
Art néoclassique avec le Palais de Raxoi...
C'est sur cette belle et grande place que se réunissent les pèlerins
qui viennent du monde entier...
Bien à vous !
Georges Musy
J'ai eu l'occasion de retourner à Saint-Jacques de Compostelle la veille de mes 50 printemps, soit ce mardi 3 mai 2011...
Ville de pèlerinage du christianisme, avec Rome et Jérusalem, Santiago de Compostela fut déclarée Patrimoine de l'Humanité par l'UNESCO en 1985.
Quant à son célèbre chemin jacobin, il a été nommé premier itinéraire culturel européen, en 1987, par le Conseil de l'Europe puis également par le patrimoine de l'Humanité en 1993.
Avec environ 140'000 habitants, dont environ 35'000 étudiants, Santiago est la capitale politique et administrative de la Communauté Autonome de Galice
et de l'archidiocèse apostolique.
Elle est, de plus, considérée comme le principal foyer culturel de la Galice et se situe à environ 60-70 km au sud de La Coruña.
Personnellement, j'aime surtout la vieille ville qui est très bien restaurée et conservée.
D'autre part, je ne peux que vous recommander de manger dans les nombreux restaurants qui se trouvent à proximité de la cathédrale...
ou de la célèbre place de l'Obradoiro (l'une des plus belles d'Espagne)
qui est située devant la cathédrale...
et l'hôpital des rois catholiques, également connu sous le nom d'Hôpital Royal.
A l'origine, cet hôpital fut édifié par les rois catholiques afin de pouvoir accueillir les pèlerins malades ou fatigués par leur long voyage. Depuis plusieurs années, il a été transformé en un hôtel 5 étoiles et actuellement c'est l'un des hôtels les plus luxueux d'Espagne...
Ci-après, voici l'un des restaurants dont je vous parle plus haut, "El Cayado"...
Il se situe justement dans la rúa do Franco, aussi connue sous le nom de "rúa dos viños",
à 150 mètres à peine de la place de l'Obradoiro...
Les prix sont très corrects pour une ville qui vit principalement du tourisme, des pèlerins et des très nombreux étudiants qui y accomplissent leurs études.
Aux alentours de la cathédrale, vous trouverez régulièrement des comédiens qui se déguisent, qui en Jésus-Christ, qui est en l'apôtre Jacques...
Je vous laisse aussi apprécier les jolies et différentes façades des immeubles
qui composent la vieille ville de Santiago...
les différents bâtiments anciens, comme ici le couvent de San Paio de Antealtares...
les différentes places. Par exemple, ci-dessous, la place de Cervantès avec sa statue...
Surtout, si vous vous rendez en Galice, n'oubliez pas de visiter Santiago...
Je peux vous assurer que vous ne le regretterez pas !
Bien à vous !
Georges Musy
La Coruña se prête particulièrement bien à la pêche, notamment depuis les rochers qui se trouvent à un jet de pierres du centre de la ville (ci-dessous sur la plage de Riazor qui se trouve à environ 300 mètres du stade de football).
Voici encore quelques photos que j'ai pu réaliser hier matin...
et ce matin en me promenant le long du Paseo Maritimo...
Parfois les pêcheurs doivent avoir l'impression d'être comme "surveillés" par les chalutiers, les pétroliers et autres bateaux qui passent au loin...
ou encore par les promeneurs ou autres photographes de passage...
Personnellement, j'aime beaucoup pêcher depuis les rochers.
Toutefois, cette année je n'ai pas prévu de le faire
car je ne suis pas vraiment équipé pour...
En effet, il s'agit vraiment d'être prudent car un faux pas sur un rocher humide et on se retrouve vite au fond de l'Océan...
et il faut aussi tenir compte de la marée...
des vagues qui peuvent être parfois très dangereuses...
des algues qui peuvent casser le matériel... Ci-dessous, ce pêcheur essaie de se dépétrer des algues qui ont coincé le plomb et l'hameçon de sa canne ! Comme vous pouvez le constater, il s'y prend très bien pour ne rien
casser ! Et ce sera le cas... il s'en sortira sans dommage.
Mais quel bonheur quand le poisson est (enfin) pris !
Et après, il faut remettre l'ouvrage sur le métier...
Ce pêcheur, par exemple, a pris une dizaine de poissons
en moins d'une heure... j'en suis témoin !
Bien à vous !
Georges Musy
Mon deuxième lieu de pêche préféré en Galice est Barrañan,
à quelques 15 kilomètres à l'Ouest de la Coruña...
Dans le fond nous aperçevons le nouveau port
des pétroliers, à Arteixo...
Et ci-dessous, les rochers depuis lesquels nous pouvons pêcher...
Inutile de préciser que si vous tombez, il y a de fortes chances
pour que vous y restiez...
Ce jour-là, le vent soufflait beaucoup, ce qui complique la pêche. J'ai
donc laissé Florian et un de ses amis car je n'étais pas équipé...
Vous conviendrez certainement que le décor en vaut vraiment la peine !
Il s'agit juste d'être prudent et de ne pas se croire
supérieur à l'Océan, aux vagues puissantes...
Le plus délicat avec ce temps, c'est de pêcher entre les algues
sans perdre ni les hameçons, ni le plomb...
Cette pêche relève parfois aussi de l'escalade... mais
je peux vous assurer que c'est le top !
Bien à vous !
Georges Musy
Depuis 4-5 ans, les alentours immédiats de la Torre de Hércules
ont été passablement améliorés, notamment la petite plage ci-dessous...
De nouveaux sentiers ont été créé afin de faciliter l'accès aux personnes
âgées et handicapées.
Des rampes d'escaliers permettent d'accéder directement au Paseo Maritimo...
Voici quelques vues de ces nouveaux sentiers...
Comme vous pouvez le constater, il y a également de nombreux bancs
en bois pour se reposer...
et ce, tout le long du parcours... ce qui est fort agréable !
A la fin des années 1980 et début des années 1990, je pêchais régulièrement sur les rochers qui se trouvent au pied de la tour...
Ces vues sont prises depuis le Paseo Maritimo...
Vous pouvez apercevoir les sentiers qui ont été agrandis et aplanis pour le bien-être de tous les promeneurs...
Le printemps et l'automne sont les deux saisons que je préfère en Galice car les couleurs et les senteurs y sont vraiment exceptionnelles.
Ci-dessous, le Paseo Maritimo avec la piste cyclable sur la droite...
Des milliers de gens, de tous les âges. marchent quotidiennement le long du Paseo Maritimo qui s'étend sur plusieurs kilomètres et qui entoure la ville...
Bien à vous !
Georges Musy