Cette affection du métabolisme atteint dans notre pays 1 enfant sur 2000, soit 40 nouveaux-nés par année. En France, il y a actuellement environ 6000 personnes atteintes de ce mal et dont l'espérance de vie n'excède pas 24 ans. La dernière personne connue qui est décédée des suites de cette horrible maladie est Grégory Lemarchal...
La fibrose kystique (CF) ou mucoviscidose désigne la maladie héréditaire la plus fréquente et atteint dans notre pays un enfant sur 2000. Dans la population 1 personne sur 20 est porteuse du gène anormal de la mucoviscidose, maladie héréditaire récessive. Un couple porteur aura, à chaque nouvelle naissance, 1 risque sur 4 d’avoir un enfant atteint. Cette maladie congénitale, non contagieuse, altère la composition des sécrétions de certaines glandes, notamment celles du pancréas et des bronches, et celles qui sécrètent la sueur. Actuellement il n’existe aucun moyen de guérir la mucoviscidose. Cependant grâce aux progrès réalisés dans le domaine de la recherche médicale, on dispose de méthodes de traitements efficaces et de plus en plus de patients atteignent l’âge adulte. D’autre part on procède depuis plus de 10 ans à des greffes pulmonaires qui ont un taux de réussite réjouissant.
En quoi consiste le traitement ?
Comment vit un patient CF ?
Les troubles engendrés par la mucoviscidose doivent être traités intensivement chaque jour, pendant toute la vie. Par les parents, avec l’aide des médecins, et plus tard par le patient lui-même. Celui-ci est astreint à se lever tôt chaque matin, à subir une inhalation d’aérosol, puis une séance de physiothérapie respiratoire pour libérer ses bronches en expectorant les mucosités qui les encombrent. Traitement qui devra se répéter le soir et parfois même à midi si la personne est particulièrement « encombrée ». Des séances éprouvantes qui réduisent le temps de jeux et de repos, puis de loisirs et de travail de l’adulte CF. Arrivés à l’âge adulte les patients sont confrontés pour la plupart à des problèmes :
C’est pour cela qu’a été créée en 1990 la Fondation de la Mucoviscidose, qui vient en aide aux adultes CF de toute la Suisse en attribuant des soutiens financiers mensuels ou ponctuels afin de les rendre le plus autonomes possible et de leur donner espoir en attendant la victoire de plus en plus proche sur la maladie ou dans l’attente d’une greffe pulmonaire.
Personnellement, j'ai une carte de donneur d'organes et Céline aussi. Il est bon de penser à cela de notre vivant car nous ne savons pas quand nous allons mourir...
C'est pour cette raison que je vous encourage également à y réfléchir car peut-être qu'un jour vous sauverez une autre personne par votre don d'organe(s)... ou peut-être que vous-même vous serez sauvé(e) par un donneur... qui sait ?
Bien à vous !
Georges Musy
Au 15ème siècle déjà, il arrivait souvent que des cortèges religieux accompagnent les personnages "importants", un peu comme lors de la "fête Dieu" que nous avons par exemple ici - généralement au mois de juin - dans le canton de Fribourg (entre autre).
En tête se trouvaient des hommes qui portaient la croix et d'autres qui portaient une bannière, celle-ci servant à différencier la paroisse de la confrérie. Ces cortèges demandaient donc beaucoup d'organisation et de rigueur.
C'est pourquoi on emploie depuis la fin du 15ème siècle "c'est la croix et la bannière" pour qualifier une situation qui demande beaucoup de méticulosité. Par extension, l'expression signifie également que quelque chose est difficile et complexe à réaliser.
En résumé, quand on dit que "c'est la croix et la bannière", cela signifie que c'est compliqué et que l'on va "ramer".
Bien à vous !
Georges Musy
Voici une recette rafraîchissante, sans prétention et facile à réaliser, pour élaborer un bon steak tartare...
Tout d'abord, il est préférable de prendre de la viande de bœuf (steak ou filet), environ 150 g à 180 g par personne, chez votre boucher. La qualité et l'hygiène de la viande sont primordiales si vous voulez éviter des déconvenues, genre gastro...
Ensuite, vous préparez des toasts, sans omettre le beurre. Les frites sont également bienvenues.
Enfin, hachez la viande avec un hachoir (ou un bon couteau) aussi fin que possible, à votre convenance. Il y a aussi des bouchers qui peuvent vous préparer la viande, mais parfois c'est trop fin ou pas assez... donc il y a des risques d'être un peu déçu du résultat.
Ingrédients nécessaires pour réaliser une bonne sauce :
Versez le(s) jaune(s) d'œuf(s) dans une assiette creuse. Ajoutez la moutarde. Mélangez la pâte d'anchois et le raifort. Émulsionnez le jaune, la moutarde, la pâte d'anchois et le raifort. Ajoutez les condiments et les épices.
Versez le ketchup et quelques gouttes de tabasco. Mélangez l'ensemble afin d'obtenir une sauce tartare homogène.
Déposez le steak et l'écrasez dans la sauce. Malaxez le steak avec la sauce à l'aide de la cuillère et de la fourchette de façon à obtenir un ensemble lié.
Préparez la sauce en deux fois. Si elle est trop forte (trop épicée), il faut rajouter du rhum et/ou du ketch-up ! La sauce ne doit pas être trop liquide, ni trop épicée !
Attention, lorsqu’il y a 1 kg de viande et plus, la sauce doit être assez épicée car elle perd de sa saveur dans le volume de la viande !
Il est possible de boire soit du vin rouge (pas trop corsé, le Beaujolais est bienvenu – Fleurie, Brouilly) soit du vin rosé bien frais et pas trop sucré, genre Œil-de-perdrix de Neuchâtel, Rioja, etc. !
Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter un Bon appétit !!!
Georges Musy
De nombreux accidents se produisent au cours d'activités banales telles que marcher, monter les escaliers ou porter des charges. Le risque d'accident durant ces activités est volontiers sous-estimé car il prévaut l'idée "qu'il ne m'est encore rien arrivé". Pourtant, selon les statistiques, un assuré de la SUVA sur dix est victime chaque année d'un accident du travail. Ces accidents pourraient être évités en respectant les règles de sécurité et en faisant attention à sa santé.
En tant que responsable de la santé et de la sécurité auprès de mon employeur actuel, permettez-moi d'attirer votre attention sur les règles de base en matière de sécurité au travail que chacun/e se doit d'observer.
Ci-dessous, vous trouverez les règles de base concernant la sécurité au travail pour le personnel de l'industrie et de l'artisanat. En effet, les accidents ne se produisent pas par hasard. Alors, afin d'éviter un maximum d'accidents, voici les principaux conseils à suivre :
Vous pouvez consulter le site de la SUVA afin de prévenir des accidents professionnels.
Bien à vous !
Georges Musy
Nombreux sont les groupes de personnes qui sont exposés au burn-out. Comme vous pourrez le voir ci-après, il s'agit essentiellement de personnes qui s'investissent à 100%, voire même davantage, dans leur travail ou pour les autres ! Toutefois, je ne dis pas qu'elles ont toujours raison... ou tort ! Il s'agit de trouver le juste milieu et ce n'est pas toujours évident.
Je ne sais pas si vous faites partie de ces personnes, mais si c'est le cas, permettez-moi de vous suggérer de faire bien attention à vous !
Bien à vous !
Georges Musy
Quand vous traversez, donc lorsque vous êtes en pleine phase de burn-out, vous rencontrez forcément différents problèmes...
Le temps pour vous rétablir augmente en fonction du degré de la gravité de votre burn-out. Autrement dit, plus vous avez tiré sur la corde longtemps (donc plus vous êtes épuisé), plus votre convalescence sera longue. Et si d’aventure vous ne vous laissez pas suffisamment de temps pour vous sortir du burn-out, vous risquez de replonger dans un 2ème burn-out… et là, c’est encore plus difficile de vous en sortir... voire même impossible dans certains cas !
Mon prochain article traitera des groupes les plus exposés au burn-out !
Bien à vous !
Georges Musy
Source : Swiss Burnout
Les symptômes du burn-out ne sont pas aussi évidents qu’une jambe cassée ou une pneumonie. Comme pour la plupart des autres de formes de processus pathogéniques, on décrit plusieurs « stades » de burn-out.
Il s’agit d’une descente en spirale au fond d’un trou noir et la personne victime d’un burn-out peut expérimenter plusieurs de ces symptômes car ils peuvent se cumuler :
En ce qui me concerne, voici les symptômes que j’ai eu sur une durée de plus ou moins 3 années avec une nette détérioration durant les 6 derniers mois :
Comme vous pouvez le constater, ces symptômes sont révélateurs. Dans un prochain article je vous parlerai des conséquences du burn-out.
Vous pouvez également retrouver quelques explications complémentaires sur le site de Swiss Burnout.
Bien à vous !
Georges Musy