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18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 06:01
La citation du jour

"Les conséquences de la colère sont beaucoup plus graves que ses causes."

 

Marc Aurèle

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 07:00

Nombreux sont les groupes de personnes qui sont exposés au burn-out. Comme vous pourrez le voir ci-après, il s'agit essentiellement de personnes qui s'investissent à 100%, voire même davantage, dans leur travail ou pour les autres ! Toutefois, je ne dis pas qu'elles ont toujours raison... ou tort ! Il s'agit de trouver le juste milieu et ce n'est pas toujours évident.

 

Burn-out 19

  • Les personnes qui ont une mauvaise image d’elles-mêmes.
  • Les personnes qui exercent un métier ou une profession au service des autres : les infirmières, les médecins, les pasteurs, les travailleurs sociaux, les thérapeutes.
  • Les obsédés du travail, celles et ceux qui ont une personnalité du type A, soit « obsessionnel – compulsif » 
  • Celles et ceux que personne n’a jamais regardé dans les yeux en leur disant : « Je t’aime ! » ou « Je suis fier de toi ! »
  • Les personnes qui aiment les gens, qui aiment rendre des services.
  • Les personnes qui ont des parents obsédés par le travail.
  • Les Suisses. Un bon Suisse est un Suisse occupé. Cela peut être attendu de vous culturellement parlant.
  • Les perfectionnistes car ils sont toujours occupés à faire les choses parfaitement.
  • Celles et ceux dont les attentes ne sont pas réalisées.
  • Les personnes qui manquent de discipline et qui n’arrivent pas à dire « NON ! »
  • Les personnes qui veulent ou essaient de faire plaisir à tout le monde.

Je ne sais pas si vous faites partie de ces personnes, mais si c'est le cas, permettez-moi de vous suggérer de faire bien attention à vous !

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 13:41

Quand vous traversez, donc lorsque vous êtes en pleine phase de burn-out, vous rencontrez forcément différents problèmes...

 

Burn-out 15

  • Santé – Irrégularités et troubles du sommeil = prise de somnifères -  Déprime, dépression, sautes d’humeur, etc. = prise d’antidépresseurs, etc.
  • Couple – La vie de couple peut-être fortement ébranlée car, dans la plupart des cas, le conjoint de reconnaît pas celui ou celle qu’il a épousé. Le couple peut être amené à la séparation, puis au divorce.
  • Famille – Eloignement car vous perdez la réalité du quotidien avec vos enfants et votre conjoint.
  • Travail – Impossibilité de travailler correctement pendant cette période. Repos forcé. Eventuel reclassement professionnel par l’intermédiaire de l’AI si l’arrêt dure plus de 12 mois. En ce qui me concerne, je suis passé par là car il m’a fallu 28 mois pour m’en sortir. Arrêt maladie à 100% du 5 mai 2000 au 25 septembre 2002.
  • Amis – Détachement, fuite, etc.

Le temps pour vous rétablir augmente en fonction du degré de la gravité de votre burn-out. Autrement dit, plus vous avez tiré sur la corde longtemps (donc plus vous êtes épuisé), plus votre convalescence sera longue. Et si d’aventure vous ne vous laissez pas suffisamment de temps pour vous sortir du burn-out, vous risquez de replonger dans un 2ème burn-out… et là, c’est encore plus difficile de vous en sortir... voire même impossible dans certains cas !

 

Mon prochain article traitera des groupes les plus exposés au burn-out !

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 13:36
  • qui a gagné en importance dans notre époque fragile actuelle ;
  • qui survient particulièrement souvent chez les individus exerçant des métiers du secteur des soins et de l’éducation présentant des responsabilités et de nombreuses exigences (médecins, soignants, psychologues, enseignants, etc.) ;
  • qui touche de plus en plus souvent des hommes d’affaires et des responsables de direction qui sont soumis à une pression importante en matière de résultats ;

Burn-out 20

  • que l’on réduit fréquemment à un traitement symptomatique purement médical, et en conséquence, qui nécessite des approches préventives et thérapeutiques interdisciplinaires globales ;
  • qui survient de plus en plus chez des salariés confrontés à une insécurité professionnelle en raison de restructurations, de fusions ou de réductions de postes prévues ;
  • qui, jusqu’à présent, a été insuffisamment étudié et traité au niveau scientifique ;
  • qui occasionne des coûts élevés pour les personnes concernées, les employeurs et la sécurité sociale ;
  • dont on ne parle pas – c’est un tabou sociétal, parce que le burnout est associé à la faiblesse, à l’incapacité et à la défaillance.

 

Source :  Swiss Burnout

 

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 13:22

Les symptômes du burn-out ne sont pas aussi évidents qu’une jambe cassée ou une pneumonie. Comme pour la plupart des autres de formes de processus pathogéniques, on décrit plusieurs « stades » de burn-out.

 

Burn-out 09

 

Il s’agit d’une descente en spirale au fond d’un trou noir et la personne victime d’un burn-out peut expérimenter plusieurs de ces symptômes car ils peuvent se cumuler : 

  • L’épuisement – Un manque d’énergie associé à des sentiments de fatigue, une difficulté à continuer vos activités habituelles.
  • Le détachement – Vous vous isolez de vos amis. Vous mettez une distance entre vous-même et les autres, surtout avec ceux dont vous avez été proche.
  • L’ennui – Votre vie n’est plus (ou ne vous paraît plus) aussi amusante et enthousiasmante qu’elle l’était auparavant.
  • Le cynisme – Vous pouvez devenir négatif à l’égard de la vie, du travail, de la famille, de vos amis, de l’église. Vous pouvez commencer à remettre en question la valeur des amitiés, de vos activités et même celle de la vie.
  • Augmentation de l’impatience et de l’irritabilité – Vous devenez impatient avec les autres vous leur faites subir vos frustrations.
  • Un sentiment d’omnipotence – « Personne ne peut faire mieux mon travail que moi ! Je suis le seul qui peut le faire, personne d’autre ! »
  • Le sentiment de ne pas être apprécié – Des sentiments d’amertume, de colère et de rancune parce que vous ne vous sentez pas apprécié.
  • Un changement dans la manière de travailler – Maintenant, vous n’accomplissez plus votre travail comme avant. Vous ne fonctionnez plus à votre niveau de performance précédent.
  • Une éventuelle paranoïa – Vous passez du sentiment de ne pas être estimé à celui d’être maltraité ou menacé et vous pensez : « Quelqu’un veut ma peau ! »
  • La désorientation – Lorsque le burn-out continue, à long terme, il devient de plus en plus difficile de vous concentrer. La capacité à vous souvenir des dates, des noms est réduite au point qu’il se peut que vous oubliez même ce que vous alliez dire.
  •  Des plaintes psychosomatiques – Des maux de têtes, des refroidissements qui durent longtemps, des maux de dos ou des plaintes concernant d’autres douleurs, réelles ou inventées.
  • Le découragement – Une perte de courage, un sentiment de tristesse, aucune joie.
  • Une dépression majeure – Un état de déprime puis de dépression envahit la plupart des domaines de votre vie.
  • Le désespoir – Rien ne peut plus être fait.
  • L’impuissance – « Je ne peux rien faire. Je ne m’en sens pas capable. »
  • Le sentiment d’être sans Dieu – « Il m’a quitté, abandonné. »
  • La condamnation de soi – « C’est de ma faute ! » Il y a un sentiment de culpabilité parce que « vous vous êtes permis de tomber si bas ».
  • Des pensées noires ou suicidaires – « Je serai mieux si j’étais mort ! Je ne sers plus à rien ! »
  • L’absence de temps pour se détendre – Vous ne prenez pas de temps pour vous.
  • Des variations d’humeur – Vous pouvez passer par des hauts et des bas émotionnels plusieurs fois dans la même journée. 

En ce qui me concerne, voici les symptômes que j’ai eu sur une durée de plus ou moins 3 années avec une nette détérioration durant les 6 derniers mois :

 

Burn-out 25 

  • Santé - Maux de tête, vertiges, fatigue inhabituelle, troubles du sommeil, hypertension, pertes de mémoire, difficultés à m’exprimer, à réfléchir, à me concentrer. De plus, je n’avais plus envie de manger correctement et prenais souvent mes repas froids ce qui n’arrangeait pas mon estomac ni mes intestins.
  • Travail – Manque de motivation, incapacité à gérer mon temps, à planifier mes tâches, à maîtriser mon stress.
  • Couple – Je n’avais plus de rapports intimes avec mon épouse. En fait je n’avais plus envie de caresses, de contacts physiques, de sexualité, etc. Ma libido était au plus bas.
  • Famille – Je ne supportais plus le bruit, les enfants (ils avaient 10 et 12 ans en 2000), je perdais très vite patience, devenais très vite et très facilement irritable. Je devenais impossible à vivre pour ma famille et mon entourage.
  • Amis – Je ne supportais plus les réunions, les repas, les comités, la foule, etc.

Comme vous pouvez le constater, ces symptômes sont révélateurs. Dans un prochain article je vous parlerai des conséquences du burn-out.

 

Vous pouvez également retrouver quelques explications complémentaires sur le site de Swiss Burnout.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 12:42

Le burn-out se soigne. Le repos seul ne suffit pas. J'ai aussi du prendre des médicaments (antidépresseurs et somnifères) pendant un certain temps pour m'aider à reprendre un rythme qui corresponde à ma personne...

 

Burn-out 03

 

En ce qui me concerne, j'ai mis environ 28 mois pour m'en sortir; certains mettent moins de temps, d'autres davantage... Nous sommes toutes et tous différents face à la maladie. Nos corps n'ont pas tous la même capacité de récupération, alors il est inutile de mettre la charrue avant les bœufs, même si c'est un moment douloureux à passer.

 

Certaines personnes sujettes à la dépression, au blues, à la déprime, à l'hypertension artérielle, etc., n'ont pas d'autre choix que de prendre des médicaments leur vie durant...

 

« S’assurer d’avoir bien compris les raisons qui ont mené à l’épuisement est essentiel. Prendre le temps nécessaire pour refaire son énergie et soigner son corps l’est tout autant.

 

S’entourer de toute l’aide nécessaire et poser ses exigences lorsque l’on se connaît mieux est un acte de prévention qui tiendra loin toute récidive.

 

Travailler jour après jour à garder une bonne estime de soi est une sorte de passeport pour le mieux-être.

 

Et surtout il faut rester vigilant à tous les signes physiques comme psychologiques qui sont autant de « lumières rouges » invitant à agir avant qu’il ne soit trop tard. » (Marie Bérubé, psychologue)

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 11:57

Au moins 785 cas d'abus d'enfants ont été recensés dans les cliniques pédiatriques suisses en 2009. Dans 80% des cas, l'abuseur est un membre de la famille. Plus de la moitié des victimes ont moins de 6 ans.

 

Enfant maltraité 03

 

Ces chiffres sont tirés d'une statistique réalisée auprès des 14 plus importantes institutions pédiatriques du pays, a indiqué la Société suisse de pédiatrie. On diagnostique quatre fois plus de cas d'abus que de nouveaux cas de cancers chez les enfants.

 

Sur les 785 abus recensés en 2009, 229 (29,2% de l'ensemble des cas) étaient des violences physiques, 219 (27,8%) des abus sexuels, 213 (27,2%) des négligences et 121 (15,4%) des abus psychiques.

 

Enfant maltraité 02

 

Dans 48% des cas, un traitement stationnaire a été nécessaire. Sur les 785 enfants, 322 étaient des garçons (41%) et 461 des filles. Les victimes d'abus sexuels sont des filles dans 75,4% des cas. Plus de la moitié des enfants abusés ont moins de 6 ans, près de 20% ont moins d'un an.

 

 

Dans 619 cas (79,2%), l'abuseur est un membre de la famille et dans 111 (14,1%) une connaissance. Dans 53 cas seulement (6,7%), l'auteur est un inconnu. Dans 89,5% des cas, l'agresseur a plus de 18 ans et c'est le plus souvent un homme (environ 60%).

 

La Société suisse de pédiatrie veut améliorer sa statistique pour 2010. De ce fait, le nombre de cas va certainement être plus élevé qu'en 2009, a estimé le docteur Markus Wopmann, médecin-chef de la clinique pédiatrique de l'hôpital cantonal à Baden (AG).

 

Toutes les cliniques pédiatriques du Tessin ont fourni leurs chiffres. En Suisse alémanique, seules deux établissements n'ont pas donné de renseignements. En Suisse romande, le canton de Genève a été le seul à livrer des statistiques.

 

Enfant maltraité 01Les cliniques pédiatriques de Suisse ont enregistré 923 cas d'enfants maltraités en 2010. Cela représente une augmentation de 17% par rapport à 2009. On ignore si cette hausse reflète une aggravation réelle ou si elle résulte d'un meilleur recensement. Sur les 923 cas recensés, 271 concernaient des violences physiques, 233 des sévices sexuels, 291 de la négligence, 123 des violences psychologiques.

 

Dans trois quarts des cas, l'auteur des violences est un membre de la famille. Et dans 474 cas, ces enfants victimes de maltraitance ont moins de 6 ans (219 ont moins d'une année).

 

Sources :   https://www.keystone-sda.ch/fr/ et http://www.tsr.ch/info/ 

 

Après avoir lu ces lignes, à mon avis il est important de méditer au fait que ce ne sont pas seulement des prêtres, des évêques ou autres hommes d'église qui sont des pédophiles même si certains médias ne cessent de s'acharner sur l'église catholique depuis plusieurs mois...

 

Toutefois, même si ces chiffres sont profondément révoltants, il est également inutile de tomber dans la sinistrose propagée par les médias (toujours eux !) car la grande majorité des personnes (y compris les hommes d'église cités plus haut) n'entre pas forcément dans la catégorie des pédophiles ou des parents indignes...

 

De nos jours, il devient de plus en plus difficile de s’occuper des enfants (entraîneurs, profs de gym, mamans de jour, etc.) car il est quasi interdit de les toucher même lorsqu’ils se blessent sous peine d'être dénoncé pour attentat à la pudeur...

 

Comprenons-nous bien, je ne dis pas qu'il faut taire les abus et/ou ne pas les punir. Cependant, chacun est prié de balayer devant sa porte avant d'accuser les autres, notamment certains journalistes !

 

Par contre, je dis MERCI à celles et ceux qui ont le courage de témoigner de leur abus, qu'il soit d'ordre sexuel, spirituel ou autre. MERCI aussi à celles et ceux qui écoutent ces témoignages et qui aident ces personnes, enfants ou adultes à s'en sortir !

 

Enfin, je plains celles et ceux qui sont témoins (directs ou indirects) d'abus et qui n'osent pas les dénoncer. Je plains aussi celles et ceux qui refusent de croire leur enfant, leur conjoint, leur ami ou leur collègue quand ils disent avoir été abusé sexuellement, moralement (mobbing) ou spirituellement... Si tel est votre cas, sachez que vous êtes complice et que votre position n'est pas meilleure que celle de l'abuseur...

 

Si vous êtes ou avez été victime d'un abus, peu importe lequel, l'Association ESPAS à Lausanne peut vous aider. Il vous suffit de téléphoner directement en composant le 0848 515 000 ou encore d'envoyer un e-mail à contact@espas.info.

 

Il y a également des antennes en Valais (Sion) et à Fribourg que vous retrouvez sur le site ESPAS..contact@espas.info   contact@espas.info

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 11:03

Homme énervé 01

 

 

 

 

 

Un homme s'énerve à la mairie :

 

- Mais enfin, mademoiselle, voilà une demi-heure que je suis devant votre guichet !


- Et alors ? Moi cela fait quinze ans que je suis derrière !

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 10:32

Non seulement il y a une issue, ou plutôt devrais-je dire, différentes issues au burn-out, mais il y a également une (nouvelle) vie après le burn-out car rien ne sera plus jamais comme avant !

 

Burn-out 13 

C'est ce que nous confie, sur son blog, une jeune femme, Steph-Anne, qui a été victime d'un burn-out, il y a quelques années déjà, à l’âge de 34 ans.

 

Personnellement, j'ai été très impressionné par l'excellente qualité du blog de Steph-Anne...

 

Je vous encourage à lire son témoignage, qui m'a personnellement beaucoup touché, en cliquant sur le lien suivant :

 

http://stephanne.over-blog.com/ 

 

Je souhaite sincèrement que vous pourrez éviter le burn-out en parcourant ce blog... et si, hélas, vous êtes en plein dedans en cet instant, j'espère que ce sera le début de votre reconstruction, de votre nouvelle vie !

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 10:22

On appelle « dormance » en botanique la période de repos, en général l’hiver, que la végétation doit traverser avant la reprise active, accélérée, de la croissance du printemps. C’est une époque de paisible préparation pour faire face aux exigences impérieuses d’une nouvelle étape de développement. Il se fait une reconstruction des cellules épuisées et une remise en forme des tissus fatigués. Tout cela dans l’attente d’un réveil impétueux du printemps.

 

Burn-out 14 

Le même principe s'applique à la vie entière du chrétien, spirituelle, mentale et émotionnelle. Une idée courante, mais erronée, fait croire à beaucoup de chrétiens que, pour être efficace, il faut toujours être en action. Dieu est alors souvent obligé de permettre que nous soyons arrêtés pour un temps par un repos forcé. Une maladie, des problèmes inattendus, des circonstances pénibles s'abattent sur nous comme les glaces de l'hiver. Nous sommes alors contraints de cesser toute activité.

 

Et nous nous plaignons peut-être : « Pourquoi est-ce que cela m’arrive ? Quel est le but de toute cette souffrance ? Pourquoi ne puis-je pas continuer à travailler pour Dieu ? »

 

Honnêtement, je dois reconnaître que Dieu peut très bien accomplir sans moi Son œuvre dans ce monde. Mais je dois être prêt à obéir quand Il veut et où Il veut m’employer. 

 

Ce texte est tiré des Editions Bibles et traités chrétiens – CH 1800 Vevey – Calendrier 2001 « La Bonne Semence »

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