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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 15:00

Deux amis, accoudés à un bar, sont en train de parler d'un autre ami - en l'occurence un joyeux fêtard - qui vient de mourir. Ils s'interrogent sur l'épitaphe qu'ils vont inscrire sur sa pierre tombale étant donné qu'il n'a plus de famille...

 

Tombe 01

 

Alors, après avoir bu quelques verres en souvenir de ce cher ami trop tôt disparu,  l'un d'entre eux, propose l'inscription suivante :

 

"Etant donné que notre ami Marcel avait une vie plutôt dissolue, nous pourrions mettre :

 

"Ci-dessous gît celui qui ci-dessus fût si souvent saoul !"  

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 11:00
Roland Magdane : lettre à ma mère

Comme quoi, on peut en dire des choses dans une simple lettre... même si on se trouve à l'armée pour l'écrire...

 

J'écris une lettre à ma mère.


Chère maman, je suis bien arrivé à la guerre. Hier on a tiré les rois. C'est moi qui ai eu la fève.
Elle mesurait environ 7 cm de long et elle a pénétré très, très profondément dans mon bras gauche.
Après l'opération, j'ai bu du champagne, ça pique.
J'ai cassé ma montre.
Là, ma mère, elle va gueuler.
Il me reste plus que la petite aiguille, ça ne me gène pas trop mais je redoute que quelqu'un me demande l'heure.
On est passé par Amsterdam, dans le port y a des marins qui chantent et qui pissent relativement fort, de préférence sur des femmes infidèles.
Tu sais maman que, ici, je trouve plein de champignons.
Comme je suis souvent à plat ventre je les vois plus facilement.
Mais il va falloir que j'arrête de gratter la terre avec mon fusil, ça bouche le canon.
Il n'est pas méchant le capitaine, mais il crie très fort.
L'autre jour il s'est vraiment fâché très, très fort.
Je suis allé directement en prison, je ne suis pas passé par la case départ, et je n'ai même pas reçu 20 milles.
J'ai eu 6 mois de cachot. 6 mois de cachot ça parait très long mais j'ai trouvé une combine.
En dormant 12 à 13 heures par jour je n'ai fait que 3 mois effectifs.
Ici on ne peut faire confiance à personne, on est très mal entouré.
En fait on est complètement encerclé.
Ce matin, en me levant, j'ai marché sur une mine, mais du pied gauche.
Dis à mon frère, qu'il arrête de m'envoyer des paquets et des colis vides.
Au début je trouvais ça drôle, et j'ai d'ailleurs beaucoup ri.
A présent mes nerfs lâchent un petit peu.
Le général vient de nous annoncer que nous serions rapidement tous exterminés.
Peux-tu regarder le mot exterminer dans le dictionnaire et m'en donner la signification exacte ?
Répond-moi le plus rapidement possible.
Signé : ton petit Zorro qui t'aime très fort.

 

(c) Roland Magdane

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 07:00

Ce témoignage, exceptionnel et courageux, m’a profondément bouleversé ! Je ne peux que vous encourager à lire ce livre car c'est une leçon de vie pour chacun(e) ! En voici le résumé ci-après...

 

Brûlée vive

 

Résumé du livre :

 

Souad, a dix-sept ans et vit dans un petit village de Cisjordanie. Élevée au sein d'une famille plus ou moins aisée son premier crime a été de "naître fille", dans un village où les filles sont "battues, maltraitées, étranglées, brûlées, tuées...", dans un endroit où même les animaux ont un meilleur sort et où ils sont mieux considérés...

 

Souad connaît très tôt la dureté du travail, "l'esclavage" comme elle le nommera par la suite. Mais pour elle tout cela est "normal", une fille se doit d'obéir, de travailler, la seule issue est le mariage. Hélas pour Souad, selon la tradition, ses sœurs aînées doivent se marier avant, elle attend donc patiemment...

 

Mais, Souad n'en peut plus, à force d'épier son jeune voisin, Faiez, elle en tombe amoureuse, un rendez-vous, puis deux et la voilà qui tombe dans le piège de la chair. Naïve, elle est persuadée qu'il va la demander en mariage, mais la suite en sera toute autre. En apprenant la grossesse de Souad, Faiez s'enfuit. Seule, démunie, Souad tente de cacher son fardeau, mais les mois passent et avec eux l'échéance, ses parents ne sont pas dupes.

 

Il faut laver son linge sale en famille, comme on dit, ainsi son beau-frère est désignée pour accomplir ce que l'on appelle un"crime d'honneur", afin de redorer l'honneur de la famille. Cachée, Souad entend la sentence, elle sera exécutée le lendemain. Mais elle n'a pas peur, c'est encore une fois normal, elle est "charmuta"(une prostituée pour être poli).

 

Brûlée vive ! Souad est arrosée d'essence, en feu elle court et parvient à s'enfuir, grâce au salut de deux voisines elle est transportée à l'hôpital. Son beau-frère quant à lui ne risque rien car dans ce pays les crimes d'honneurs sont tolérés, tout comme en Jordanie, dans tout le Moyen-Orient, l'Inde, le Pakistan et aussi en Europe...

 

"Noir, coma, personne ne veut me toucher, on ne s'occupe pas de moi, on ne me donne ni à manger ni à boire, on attend que je meure... " Considérée comme une pestiférée, elle n'a droit a aucun soin et met au monde son enfant dans l'indifférence, jusqu'au jour où Jacqueline, qui travaille pour "Terres des Hommes" émue face à cette situation qui aux yeux de tout occidental est intolérable, décide de l'aider. Grâce a sa volonté et à son courage, elle défie les tabous et les traditions ancestrales de ce pays et conduit Souad et son fils en Suisse. Heureusement que notre pays est encore une terre d'asile pour des femmes comme Souad...

 

Hospitalisée, soignée, c'est pour elle le début d'un nouveau combat : lutter pour vivre. A force de patience, elle reprend peu à peu goût à la vie : c'est le début d'une nouvelle ère. A sa sortie de l'hôpital, elle est prise en charge par une famille d'accueil qui par la suite adoptera son fils, Marouan.

 

Peu à peu, Souad apprend à s'intégrer dans ce monde inconnu, où la femme est reconnue en tant qu'être humain à part entière. Elle apprend à lire, trouve un emploi et petit à petit se reconstruit une nouvelle vie dans un pays européen.

 

Aujourd'hui, Souad est mariée à Antonio dont elle a deux filles, Laetitia et Nadia. Elle a repris contact avec Marouan, son fils, et ils forment une famille unie. Son combat aujourd'hui est de dénoncer ces crimes atroces occultés par les pouvoirs publics et qui pourtant se passent à deux pas de chez nous. Elle témoigne au péril de sa vie, sous couvert d'anonymat, en tant que rescapée, brûlée au troisième degrés, défigurée, elle qui portera à jamais la marque de ce châtiment, afin que nous, qui vivons dans des pays libres venions en aide à ses victimes, pour que ces atrocités cessent.

 

A l'heure où j'écris ces lignes on dénombre 6000 cas similaires à celui de Souad par an, sans compter les maltraitances et autres abus que subissent les femmes dans certains pays...

 

Je ne peux que féliciter Jacqueline, cette femme qui a eu le courage de ramener Souad et son fils en Suisse malgré les dangers réels de sa mission...

 

Je vous souhaite bonne lecture... mais j'aime autant vous prévenir que vous n'en sortirez pas indemne et que vous rendrez grâce à Dieu de pouvoir vivre dans un pays libre tel que le nôtre !

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

 

Source : Souad, Brûlée vive, Oh ! Editions, avril 2006, imprimé par Brodard & Taupin, Paris, France (format livre de poche, 220 pages)

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 11:00

Voici, ci-dessous, pour celles et ceux qui ne le connaîtrait pas encore, un de mes sketchs préféré de Roland Magdane. J'avais à cœur de vous le faire découvrir... ou redécouvrir !

 

Roland Magdane 04

 

La langue française est quand même bizarre.

Pourquoi dit-on UN tabouret et pourquoi UNE chaise ? Pourquoi UN tabouret ?
Le tabouret a-t-il des petits attributs que je n'aurais point vus ?

 

Pourquoi dès que c'est UNE galère, c'est tout de suite au féminin ? LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c'est pour vous les filles. Ah ben oui !
Nous, c'est LE soleil et LE beau temps, voyez ?
 

Mais vous, vous avez pas de pot : LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA pattemouille.
Nous, c'est LE café dans LE fauteuil avec LE journal, et ça pourrait être LE bonheur si vous ne veniez pas nous foutre LA merde.
 

Ah, j'ai rien inventé, la langue française est quand même bizarre... Mais ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non !
 

D'ailleurs, entre parenthèses, je vous signale que le mot sexe n'a pas de féminin. On ne dit pas UNE sexe, on dit LE sexe d'UNE femme, ça fait quand même plus sérieux, eh oui!

 

D'ailleurs, dès que c'est sérieux, comme par hasard, c'est tout de suite au masculin... On dit UNE rivière, UNE p'tite rivière, mais UN fleuve, on dit UNE voiture, mais UN avion avec UN réacteur et pas UNE hélice de merde, là !
 

Et quand il y a un problème dans un avion, c'est tout de suite UNE catastrophe, hé ! hé !
Alors, c'est toujours à cause d'UNE erreur de pilotage, d'UNE mauvaise visibilité, bref à cause d'UNE connerie.
 

Et alors, attention, dès que la connerie est faite par un mec, tout de suite, ça s'appelle plus UNE connerie, ça s'appelle UN impondérable !
 

Enfin, moi, si j'étais vous les filles, je ferais une pétition. Et il faut faire très très vite parce que votre situation s'aggrave de jour en jour : y'a pas si longtemps, vous aviez LA logique, LA bonne vieille logique féminine. Ça, les mecs, ça leur a pas plu, ils ont inventé LE logiciel.
 

Mais vous avez quand même quelquefois de petits avantages... On a LE mariage, LE divorce... vous avez LA pension.

 

Vous avez LA carte de crédit, on a LE découvert...

 

Mais en général, le type qui a inventé la langue française ne vous aimait pas beaucoup. Il n'a pas pu s'empêcher de mettre UN accouchement... Vachement masculin, UN accouchement !
  

Ah ça, des erreurs comme ça, il en a fait plein... UN sac à main, ça c'est viril à mort ça! UN soutien-gorge, ça c'est un truc de camionneur !
 

LE maquillage, LE rouge à lèvres... Il s'est trompé dans l'autre sens aussi... UNE moustache, ça c'est la féminité poussée à son comble. LA virilité... et UNE couille !!!
 

Alors là, je sais pas comment il a fait pour se tromper, parce que très tôt dans la vie, on découvre qu'UNE couille c'est pas ce qu'il y a de plus féminin. Même les aveugles font la différence. Ben lui, il a rien vu : "Hein? UNE couille? Kécecéça ? Oh ben ça doit être un truc féminin, en tout cas, moi j'ai rien du tout. "

 

Et là, ça expliquerait tout...


Ça expliquerait LA virilité, LE maquillage, LE rouge à lèvres, LE sac à main, LE soutien-gorge... LE travesti !

 

Veuillez donc noter que la langue française a été inventée par un travelo.

Depuis que je sais ça, je fais très attention quand je parle à ma femme, pour ne pas la vexer.

 

Maintenant je fais LE cuisine, après je fais LE vaisselle, et je regarde LE télé en me grattant UN couille.

(c) Roland Magdane

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 15:00

Je ne peux que vous recommander de visionner le DVD tiré du spectacle « Magdane craque ! »...

 

Roland Magdane 08

 

J'en ai encore les larmes aux yeux tellement j'ai rigolé ! Voici une infime partie, pour vous faire envie... le spectacle dure environ 1h30 !

 

Parce que moi quand je commence à parler, je ne sais pas du tout ce que je vais dire...

 

Pendant que je parle, je ne sais pas du tout ce que je dis...

 

Et quand j'ai fini de parler, je ne me souviens plus de ce que je viens de dire...

J'aurai pu faire de la politique, moi...

 

(Roland Magdane - tiré du spectacle : Magdane craque !)

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 07:00

Un homme tentant de siphonner de l'essence d'un mobil-home a eu plus qu'il n'en demandait...

 

La police, arrivant sur les lieux du crime a trouvé un homme malade, roulé en boule à coté du mobil-home, avec un mélange d'excréments et d'urine créant une flaque à coté de lui. Le porte-parole de la police a déclaré que l'homme a admis qu'il voulait siphonner le véhicule mais qu'il a introduit le tuyau par erreur dans le réservoir des toilettes du véhicule.

 

A noter que le propriétaire du véhicule a refusé de porter plainte, déclarant qu'il n'avait jamais autant ri...

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

 

 

Source : http://www.humour.com/blagues/

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18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 15:00

Un petit rendez-vous chez le dentiste, ça vous tente ? Après avoir lu (et ri) avec le sketch qui suit, je pense que vous y repenserez lors de votre prochain rendez-vous chez votre dentiste préféré...

 

Roland Magdane 01

 

MAGDANE : Vous êtes tous allé chez le dentiste ?
Vous allez voir, ça va vous rappeler de très très bons souvenirs...

 

PATIENT : Ah ! j'ai mal, j'ai mal docteur ... la grosse au fond à droite, hou ! j'ai mal, au fond à droite, à droite, à droite, à droite, merde, non mais c'est pas la peine de trifouiller par la gauche il n'y a rien à gauche. AÏE! Oh le con j'avais rien à gauche!

MAGDANE : En cinq minutes t'as mal à droite et à gauche ; Et là arrive la piqûre.

PATIENT : Oh non...

MAGDANE : Là il te montre la seringue et il te dit :

DENTISTE : Vous voyez c'est rien du tout.

PATIENT : V-vous avez rien de plus petit ?

MAGDANE : Chez un docteur normalement la piqûre ça va très vite, chez un dentiste c'est différent ; Quand il retire la seringue t'es carrément allongé dans le fauteuil ; Et là il y a la piqûre qui commence à faire de l'effet, t'as l'impression que ta lèvre pèse trois kilos

DENTISTE : Ça va vous vous sentez bien ?

PATIENT : (dit comme s'il il avait la lèvre qui pendait) Ah ouais, bien...

MAGDANE : Et là le dentiste se met de dos, il trifouille dans le coin, t'as l'impression qu'il bosse, c'est faux le dentiste se retourne parce qu'il se fout de ta gueule, et franchement il y a de quoi. Et là il revient et il te met dans la bouche le crochet du capitaine fracasse ; (comme s'il avait quelque chose dans la bouche) Et là, comme t'es très à l'aise pour parler, il commence à te poser des questions.

DENTISTE : Alors, où allez vous en vacances cet été ?

PATIENT : A chabalabala

DENTISTE : Où ça ?

PATIENT : A chabalabala !

DENTISTE : Vous me dites si je vous fais mal

PATIENT : Non vous inquiétez pas ; AÏE!

DENTISTE : Je ne vous ai pas touché !

PATIENT : Ah bon ? (Comme s'il avait quelque chose dans la bouche) ch'uis nerveux.

DENTISTE : Comment ?

PATIENT : (comme s'il avait quelque chose dans la bouche) nerveux !

DENTISTE : Pardon ?

PATIENT : A chabalabala

MAGDANE : Et là il prend la roulette.

DENTISTE : Ouvrez la bouche

PATIENT : Non

DENTISTE : Ouvrez la bouche !

PATIENT : NOON !

DENTISTE : Oh ! Ne faites pas l'idiot, ouvrez la bouche sinon je ne peux pas vous soigner !

PATIENT : Je m'en fous ! Vous n'avez qu'à passer pas derrière ; débrouillez-vous, trépanez moi.

DENTISTE : Enfin ne faites pas l'idiot ouvrez la bouche !

PATIENT : On y va doucement alors hein ?!

DENTISTE : Ouvrez la mieux que ça !

MAGDANE : Et là, il attaque. (il imite le bruit d'une roulette électrique) Là, à chaque coup de roulette, t'as les fesses qui décollent de vingt centimètres, c'est comme si le nerf de la dent était directement relié aux muscles fessiers ; Et puis à un moment il va à fond (il imite le bruit d'une roulette électrique plus fort) là il commence à y avoir de la fumée qui sort de ta bouche.

PATIENT : Aaah ! pschpsch (comme s'il avait quelque chose dans la bouche) y'a de la fumée qui sort de ma bouche !

DENTISTE : Pardon ?

PATIENT : Y'A DE LA FUMEE ! AU FEU ! LES POMPIERS !

DENTISTE : Mais où les pompiers?

PATIENT : Dans ma bouche !

DENTISTE : Enfin il pose la roulette

PATIENT : Ouvrez la bouche !

MAGDANE : Là t'ouvres la bouche puisqu'il a reposé la roulette t'es décontracté ; à ce moment là il t'envoie de l'air froid sous pression juste sur le nerf à vif.

PATIENT : C'est FROID ! Enfoiré!!

DENTISTE : Comment ?!

PATIENT : A chabalabala ; Ah z'a vé maaal !

MAGDANE : Et là l'arrivée de l'assistante super sexy super décolleté genre Marilyne Monroe

ASSISTANTE : Ça va vous avez pas trop mal ?

PATIENT : Nooooon... je suis complètement insensible à la douleur

ASSISTANTE : Ça tombe bien parce que ça risque de vous faire un petit peu mal.

MAGDANE : Et là l'autre, il est derrière, il réattaque avec la roulette (il imite le bruit d'une roulette électrique) ta main gauche s'enfonce dans le bras du fauteuil définitivement, tu peux rentrer avec le fauteuil chez toi (il imite le bruit d'une roulette électrique) ; pendant que la main droite essaye désespérément d'attraper les testicules du dentiste ; là comme par hasard la roulette s'arrête.

PATIENT : Euh ça ne vous gène pas si je joue un peu avec vos testicules ?

DENTISTE : Non, si ça peux vous détendre.

MAGDANE : Et là il t'envoie un coup de roulette (imite le bruit du coup de roulette) tu tires dessus raah ! et t'as la roulette qui dérape sur la gencive.
Alors là quand ils font une connerie ils disent tous la même chose :

DENTISTE : Rincez !

MAGDANE : Tu prends le petit gobelet tu te l'envoies derrière la cravate, c'est vraiment le cas de le dire, car vu l'état de ta lèvre inférieure, t'as le liquide qui tombe direct sur le costume.

DENTISTE : Crachez !

PATIENT : C'est déjà fait...

DENTISTE : Faites pas l'idiot rincez-vous !

MAGDANE : Tu prends le gobelet pour allez plus vite et tu te l'envoies direct sur le costard

DENTISTE : Crachez !

PATIENT : Euh...

MAGDANE : Tu te retrouves avec un petit filet de bave d'environ vingt cinq centimètres qui te relie directement à la cuvette ; Là tu te dis : il faut que je m'en débarrasse le plus vite possible, avant que l'assistante Marilyn Monroe revienne ; Plus qu'une seule solution : faut je que j'me jette en arrière d'un coup sec, tu te jettes en arrière et la Marilyn Monroe revient, elle te retrouve allongé sur le fauteuil avec un filet de bave d'environ deux mètres qui te relie toujours à la cuvette !

 

(c) Roland Magdane

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18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 11:00

Le repos seul ne guérit pas le burn-out. Les solutions résident dans la modification et le changement, qu’il s’agisse d’un changement d’environnement de travail, de mode de vie, de philosophie ou de vision du monde.

 

Burn-out 18

 

D'après mon expérience personnelle, la clé vers la reconstruction, puis vers la guérison est de reconnaître puis accepter son état. C’est ce que j’ai fait et c’est de cette manière que j’ai pu me laisser soigner.

 

Faites de votre vie physique une priorité

  • Mangez sainement.
  • Dormez correctement.
  • Amusez-vous en ayant des activités physiques : randonnée, vélo, natation, course à pied, golf, jardinage, etc.
  • Prenez soin de votre corps.
  • Prenez soin de vous...

Faites de votre vie mentale une priorité

  • Éloignez les soucis et les tensions de votre vie.
  • Apprenez ou réapprenez à rire et restez rempli de joie.
  • Donnez-vous la permission de vous détendre sans avoir l’impression de devoir faire quelque chose tout le temps.
  • Jouez à des jeux : bowling, minigolf, jeux de société, etc.
  • Prenez du plaisir à apprécier différents loisirs : peinture, lecture, bricolage, pêche, voir un match de foot, de hockey, de rugby, grillades, etc.
  • Regardez des films, DVD, vidéos qui reposent et/ou font rire.
  • Écoutez de la musique.
  • Passez du temps avec votre famille, vos amis.
  • Détendez-vous et reposez-vous SANS CULPABILITE !

Faites de votre vie spirituelle une priorité 

 

Pour autant que vous soyiez chrétien, je vous encourage vivement à pratiquer les points ci-dessous de manière assidue :

  • Lisez votre Bible.
  • Priez.
  • Louez et adorez Dieu.
  • Servez Dieu et les autres avec vos dons.
  • Restez dans votre appel.
  •  Allez à l’église.
  • Demandez à Dieu sa grâce quotidienne.
  • Prenez du temps avec Jésus.

 

« Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entier, et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ ! » (1 Thessaloniciens 5 ; 23)

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 13:00

Burn-out 21

 

Il est important, surtout à notre époque et notamment en Suisse où nous courrons, le plus souvent, comme des fous (après quoi ?), de nous interroger sur le véritable sens de notre vie.

 

Sommes-nous destinés à :

  • vivre pour travailler ?
  • à nous agiter, à courir, à nous stresser pour tout et pour rien ?
  • à être sans cesse en compétition ?
  • à être rentable à tout prix ?
  • à écraser notre prochain en toute circonstance ?

Certes, la société - notre société - actuelle nous pousse à vivre comme des fous, sans que la plupart d’entre nous se posent les questions fondamentales telles que :

  • pourquoi ou plutôt « pour quoi » suis-je sur cette terre ?
  • quelle est ma mission, mon rôle ici sur cette terre ?
  • quel est le sens de la (ma) vie ?
  • d’où est-ce que je viens et où vais-je ?

Donc si vous prenez le temps de vous arrêter, de vous reposer dans un endroit calme et de vous poser les vraies questions, je pense que vous pouvez éviter de passer par un repos forcé – ce qui a été mon cas – car le prix à payer peut être très élevé.

 

En ce qui me concerne, depuis mon épreuve, je sais que rien ne sera plus jamais comme avant dans ma vie parce que j’ai appris à :

  • travailler pour vivre.
  • vivre sans montre.
  • vivre sans être accro au téléphone portable.
  • vivre sans dire « je vais vite ici » ou « je vais vite là »…
  • dire « NON ».
  • à mieux communiquer.
  • à me remettre davantage en question.
  • à déterminer mes priorités.
  • à gérer mon stress.
  • à être moins perfectionniste.
  • à ralentir quand je sens que je recommence à courir et à dire « je vais vite ici ou je vais vite faire cela... »
  • à connaître mes limites.
  • à déléguer.

"Il y a une vie après le burn-out ! Mais pas n’importe laquelle : « c’est une renaissance à la Vie, essentiellement guidée par une nouvelle énergie, en accordant de son temps à sa vie sociale et en considérant davantage sa vie affective." (Lire le témoignage Stéph-Anne sur son site http://stephanne.over-blog.com/)

 

Vous pouvez également, si vous le désirez, découvrir mon témoignage complet sur mon burn-out en lisant le livre que j’ai écrit : « Burn-out, il y a une issue ! » paru aux éditions RDF à Chailly/Montreux (www.rdf.ch) en novembre 2006.

 

Burn-out livre 01

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 10:00

Ce sketch de Roland Magdane est l'un de mes préférés... Je m'y suis reconnu à 100%. Et vous ?

 

Roland Magdane 09

 

Je ne sais pas vous, mais moi, à chaque fois que je vais dans une grande surface, je tombe toujours sur le chariot qui couine... Le chariot avec la roue bloquée par la feuille de salade. Je me fais toutes les allées en dérapage et plus je charge mon chariot et moins j'arrive à le diriger.

 

Au bout d'un moment ça devient la lutte de l'homme contre la machine et là d'un coup je vise l'allée des surgelés et j'ai tout le train arrière qui part dans les fruits et légumes ; et là je me retrouve bloqué par les quatre feuilles de salades, sur les quatre roues. Impossible de faire marche arrière, obligé, pour revenir à la caisse qui est à deux mètres derrière, de refaire tout le tour du magasin tout en crabe.

 

Allons-y hein, t'arrives à la caisse, à la file d'attente, et là, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais dans les magasins il y a une grande loi :

 

peu importe la file d'attente que tu choisis, c'est toujours celle d'à-côté qui avance plus vite !

 

Celle que t'as choisie avant que tu arrives elle avançait super bien depuis qui tu y es elle avance plus. Y a comme un blocage. Finalement tu fais la queue pendant une heure, il ne reste plus qu'une personne devant toi et là y a une autre loi dans les supermarchés :

 

le mec qui est devant toi c'est toujours le plus mou du monde !

 

Il y a un truc aussi : il a toujours un article où il n'y a pas le prix dessus... Il y avait 400 fourchettes en promotion il en a pris une. Il a juste pris celle sur laquelle n'y avait pas d'étiquette !

 

Bon finalement c'est à toi. Il s'en va, c'est à toi ! Tu sors ton petit merdier tu le mets devant la caissière. Et là la caissière elle te fait : « Non, non, non, non, non »
« Comment ça : « Non, non, non, non, non ? »
« Non, non, non, non, non, ici c'est la caisse 5 articles maximum »
« Oh non !!! »
« Faut que vous fassiez demi-tour »
« Il faut que je fasse demi-tour ? Oh non ! »

 

Là tu commences à faire ton demi-tour avec ton chariot dans un couloir de 80 centimètres de large avec un chariot qui doit bien faire 1 mètre 20 et tout en faisant ton demi-tour tu te promets de revenir un petit peu plus tard, pour poignarder la caissière avec une des 400 fourchettes en promotion !

 

Alors là tu te retrouves dans la bonne file d'attente, 50 personnes devant toi, 50 chariots bourrés à mort et là y a ta femme qui est allée chercher du pain qui revient ! Elle t'avait laissé à 5 minutes avant t'es à 50 centimètres de la caisse elle te retrouve t'es à 50 mètres derrière et dans une autre file, et là ça commence ! « Non mais ça va pas non ! Tu crois que j'ai que ça à faire ? Attendre mon mari qui recule dans les files ? Bon moi je m'en vais ! »

« C'est ça casse-toi, laisse-moi dans la merde va le bouffer à la maison ton pain étouffe toi avec ! »

Faut voir dans quel état de nerf on finit les courses.

 

Bon, une heure après, ton état de nerf s'est considérablement amélioré ! « Grrra » et là tu ouvres un oeil y a plus qu'une personne devant toi. Et tu te dis avec le pot que j'ai aujourd'hui ils vont fermer la caisse juste derrière elle. C'est très sympa aussi.

 

Tu fais deux heures de queue : « Changement de caisse » « Oh non ! »

 

Remarquez un jour y aura plus de caisse, plus de caissière, plus de supermarché. On ferra les courses chez nous devant la télé et y aura un bras électronique qui nous prendra le pognon directement dans la poche. Là pour l'instant, on en est à la caisse électronique, très sympa.

« biiip biiip » Très sympa pour savoir le prix de ce que tu achètes.
« Combien ça coûte mademoiselle ? »
« Biiip biiip »
« Ça drôlement augmenté ! »

 

Et ça va très vite. D'ailleurs maintenant quand tu poses tes affaires, commence un concours de vitesse, entre la caissière et son tapis roulant d'un coté, et toi, et tes sacs en plastiques de l'autre.

 

« Biiip, biiiip », « Non attendez je suis pas prêt là, non, non », « Biiip, biiip », « Stop, stop », « Biiip, biiip », « Vous avez pas un petit sac ? », « Biiip,biiip », « un petit carton ? », « Biiip, biiip », « C'est pas la peine, tout est en train de se casser la gueule au bout du tapis roulant »

Là elle te fait l'addition d'un montant total de : « Biiip, biiip » et des poussières.
Tu lui donnes un chèque qu'elle rempli elle-même ce qui fait que quand tu sors de là tu ne sais même pas combien ça t'as coûté. T'es fatigué. Oui quand on fait les courses on est fatigué. D'ailleurs j'ai trouvé pourquoi. C'est une histoire de manipulation.

 

Tu prends ton produit tu le mets dans ton panier : 1 fois.
Arrivé à la caisse tu le ressors du panier : 2 fois.
Tu paies tu le remets dans ton panier : 3 fois.
Après tu le mets dans ta voiture : 4 fois.
Tu arrives chez toi, tu le descends de ta voiture : 5 fois.
Tu le rentres chez toi et tu le sors du sac : 6 fois.
Tu le mets dans ton placard. 7 fois.
Quand tu sors une boîte de petits pois le soir même ça fait déjà 8 fois qu'elle te passe dans les mains.
Tu la mets dans une casserole, 9 fois.
Tu la mets sur la table 10.
Ta boîte de petits pois elle pèse 10 kilos ! T'as le bras comme ça !
Et là y a toujours un con autour de la table qui dit : « Des petits pois c'est tout ce qu'il y a à bouffer ce soir ? »

(c) Roland Magdane

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