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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:30

Bonjour, vous êtes toutes et tous cordialement invité(e)s à la conférence sur le burn-out que je donnerai ce vendredi 30 septembre 2011 à 20h00 dans les locaux de l'Eglise Evangélique EESV, Sous-Ville 3 (près de la gare CFF) à Avenches...

 

L'entrée est totalement LIBRE et vous êtes les bienvenu(e)s !

 

Burn-out 26 

 

Sachez qu'il y a une ou plusieurs issues au burn-out ! Et il y a également une nouvelle vie après le burn-out !

 

Je reste volontiers à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire dont vous pourriez avoir besoin.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 07:00
La citation du jour

"Il n'y a pas de vent favorable pour le bateau

qui ne connait pas son port."

  

Sénèque

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 07:00
La pensée du jour
La pensée du jour

Voici une des paroles de Jésus qui a marqué ma manière de vivre depuis quelques années déjà. Permettez-moi de la partager avec vous...

 

"Ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux." (Luc 6; 31) ou "Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, vous aussi, faites-le de même pour eux..." (Matthieu 7; 12)

 

Cela m'encourage vraiment à faire les choses de manière différente, soit du mieux possible, surtout vis-à-vis de mon prochain, que je le connaisse ou non...

 

Et parfois il m'arrive de penser que je pourrai justement être à la place de la personne que j'ai en face de moi et j'apprécierai d'être bien traité en toute circonstance... peu importe ma couleur de peau, mon statut social, ma religion, etc.

  

Bien à vous !

 

Georges Musy 

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 15:00

Un couple de Belges veut acheter une maison.

 

Pendant la visite, ils entendent le bruit tonitruant d’un train qui passe à proximité.

 

L'agent immobilier qui fait visiter, un peu gêné, dit :
-On entend ça les trois premiers jours, puis on n’y fait plus attention. Ne vous inquiétez pas.
-C’est bon, répond le mari, dans ce cas-là, on passera les trois premiers jours à l’hôtel.

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 11:00

Comment recevoir le salut et comment le comprendre ? C’est certainement des questions que vous vous posez… et c’est tout à fait légitime ! J’espère que vous trouverez les réponses à vos questions dans les lignes qui suivent à travers les différents thèmes qui y sont développés.

 

Jésus 07

 

Tout d’abord, le salut est un cadeau que Dieu me donne. C’est un don gratuit de Dieu pour la vie éternelle ! Je ne peux ni le mériter, ni l’acheter. Je ne peux pas me sauver par moi-même, par mes propres moyens, mes propres forces :

 

« C’est par la grâce en effet que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres afin que personne ne se glorifie. » (Ephésiens 2 ; 8-9)

 

« Nous hésitons devant la grandeur de ce don immérité. Nous avons de la peine à y croire ; nous sommes portés à penser que nous devons le mériter d’une manière ou d’une autre. Mais cela conduit à deux graves erreurs. Premièrement, cela entretient la présomption d’une certaine classe de personnes qui persistent à croire que quelque chose en elles leur donne le droit d’être sauvées. Deuxièmement, cela renforce la souffrance de ceux qui, regardant à leur propre cœur et à leur vie, ne trouvent rien qui puisse mériter la faveur divine. Dans les deux cas, l’erreur consiste à regarder en soi-même plutôt que de lever les yeux vers le Sauveur. » (tiré de la brochure « Le salut, un don gratuit », Editions Bibles et Littérature Chrétienne 4, rue du Nord, 1800 Vevey 1, Suisse, réf. T3400)

 

Alors, imaginez que vous êtes au pied de la Croix et que vous tournez votre regard vers Jésus. Ce supplice, la crucifixion, est atroce et pourtant le Seigneur vous regarde. Ses yeux sont remplis d’amour pour vous et là il vous dit : « Je le fais pour toi ! » Puis, vous vous mettez à genoux devant lui, vous posez tous vos fardeaux au pied de cette Croix et vous vous adressez à lui à haute voix : « Seigneur Dieu, tu connais le fond de mon cœur. Je suis coupable et me repends sincèrement pour toute ma vie de péchés. Je me repends également pour tout le mal que j’ai pu faire volontairement ou involontairement. Je te demande pardon de tout mon cœur, Seigneur Dieu. Je crois que ton Fils, Jésus-Christ, s’est sacrifié pour me purifier de toutes mes iniquités et pour me guérir de toutes mes maladies à travers ses meurtrissures. Merci parce que je sais que tu m’as pardonné et que tu vas pourvoir à tous mes besoins. Amen »

 

Cette prière est déjà un bon début pour vous approcher de Dieu, pour entrer dans sa présence. Je vous encourage à prier à haute voix car vous entendez réellement ce que vous dites et cela vous aide à en prendre pleinement conscience. Ensuite vous pouvez continuer de la manière suivante en vous adressant, cette fois-ci, directement à Jésus, toujours à haute voix : « Seigneur Jésus, à partir de ce jour, je te remets les rênes de ma vie car je veux te suivre. Je te confie tout ce qui me pèse et te prie de briser les chaînes qui me retiennent captif. Donne-moi la force de renoncer au mal et de persévérer dans l’obéissance de ta volonté ! Je crois que ton sang versé, que ta mort et ta résurrection étaient aussi pour moi. Je crois que tu es le Fils de Dieu. Je te demande maintenant de devenir mon Sauveur et mon Seigneur. Je te remercie pour l’offre du salut et la vie éternelle par ta grâce. Amen ! »

 

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3 ; 16)

 

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit (en moi) a la vie éternelle. » (Jean 6 ; 47)

 

« Et voici ce témoignage : Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est en son Fils. Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. Cela, je vous l’ai écrit, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. Voici l’assurance que nous avons auprès de lui : si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, quoi que ce soit que nous demandions, nous savons que nous possédons ce que nous lui avons demandé. » (1 Jean 5 ; 11-15)

 

Et maintenant, si vous désirez vraiment suivre Jésus-Christ, vous devez demander au Saint-Esprit de vous aider à mettre de l’ordre dans votre vie. Il vous aidera à confesser (avouer) vos péchés à Dieu, à prendre conscience de ce que vous étiez et de ce que vous êtes devenus et à haïr le péché.

 

D’autre part, je vous encourage à observer trois règles importantes dont je reparlerai plus en détail dans le prochain chapitre intitulé « Comment rester chrétien ? » :

  • lisez la Bible, la Parole de Dieu chaque jour (Dieu vous parle directement)
  • priez régulièrement (vous parlez directement à Dieu)
  • témoignez de ce que Dieu a fait dans votre vie (vous parlez en faveur de Dieu) 

Beaucoup de personnes ont grandi dans un climat religieux – c’est mon cas - et se disent qu’elles n’ont pas besoin de se convertir puisqu’elles connaissent Dieu depuis leur plus tendre enfance. Elles ont été baptisées par aspersion et sans qu’on leur demande leur avis, elles ont fait leur première communion (pour les catholiques) ou ont confirmé leur baptême (pour les protestants), mais jamais elles n’ont accepté Jésus-Christ dans leur cœur, dans leur vie, comme leur Sauveur et leur Seigneur, comme le Roi des rois. Jamais elles ne se sont véritablement détachées de ce monde qui est dirigé par Satan. Et lorsqu’on leur parle de la mort, elles ne sont pas certaines de leur salut. Pire encore, elles sourient ou rigolent en prétendant que l’enfer n’existe pas et qu’en définitif Dieu sauvera tout le monde. En agissant de la sorte, elles ne reconnaissent pas qu’elles sont pécheresses ! Souvenez-vous, ce fut mon cas avant ma conversion. Et pourtant Dieu était déjà à mes côtés car il savait que j’avais soif de la vérité.

 

Jésus 12 

D’autres ont grandi dans un milieu évangélique. Leurs parents sont chrétiens nés de nouveau mais elles-mêmes n’ont pas encore fait le choix de suivre Jésus. Elles vont régulièrement au culte et autres diverses réunions, mais elles ont des chaînes qui les lient ou les retiennent dans le monde.

 

Souvent, les personnes athées sourient quand on leur parle du diable et de Jésus. Elles disent ne pas avoir besoin de « ça » pour vivre. Elles se suffisent à elles-mêmes et affirment qu’elles vivent très bien ainsi. Toutefois, en regardant de plus près, la plupart de ces personnes croient souvent à la réincarnation, aux sciences occultes (voyance, spiritisme, etc.), aux extraterrestres et autres balivernes. Elles sont souvent blasées, angoissées, dépressives… mais elles vous affirment qu’elles ne croient en rien du tout (vraiment ?) et qu’elles se fichent de ce qui se passera après leur vie. Pourtant, bon nombre d’entre elles s’empressent d’accuser Dieu de tous les maux de l’univers et elles oublient qu’elles doivent la beauté d’un lever ou d’un coucher de soleil, la naissance de leur propre enfant et leur propre vie à ce même Dieu qu’elles dénigrent, jugent ou condamnent.

 

J’ai constaté qu’il arrive que certaines femmes - je précise que ce n’est pas la majorité - offrent une forte résistance à la Bonne Nouvelle. Elles ont sans doute peur, du moins pour certaines, qu’une fois après avoir accepté Jésus-Christ dans leur vie elles doivent effectuer des « corvées » dépassant leurs limites, qu’elles ne pourront plus être les mêmes, bref qu’elles seront enfermées dans un carcan. Même si elles ne se démarquent pas comme étant des « féministes pures et dures », elles ont parfois de la peine à se dégager des préceptes mensongers de ce monde. Inutile de vous dire que lorsque nous leur parlons de la Bible, elles la critiquent (la plupart du temps sans l’avoir lue, donc forcément sans la connaître) en déclarant que c’est un « livre machiste » ! Elles se réfèrent, pour la plupart, à l’Ancien Testament (pour le peu qu’elles en connaissent) en ignorant combien Jésus leur a accordé de l’importance et s’imaginent en « femmes esclaves soumises » à leurs maris pour le reste de leur vie. Combien elles se trompent, n’est-ce pas ?

 

La vie sur cette terre est courte, parfois même très (trop) courte ! Le choix de passer mon éternité (vie éternelle) aux côtés de mon Père Céleste ou en enfer aux côtés de l’ange déchu m’appartient. Toutefois, je me souviens de témoignages poignants de personnes qui ont eu des visions (songes, rêves) de l’enfer et elles ne voudraient pas y séjourner, ne serait-ce qu’une seule minute !

 

Alors, si je vous pose la question suivante : « Si vous mourez aujourd’hui, savez-vous où vous allez ? » Pouvez-vous répondre oui ? Si ce n’est pas le cas, alors il est temps pour vous de faire un choix entre la vie…et la mort ! Il est temps de savoir si vous désirez changer de direction (conversion) ou si vous désirez rester dans le péché avec les conséquences qui en résulteront.

 

Jésus 10 

 

Pour recevoir le salut, ce don gratuit de Dieu, il est nécessaire de :

  • se repentir, prendre conscience de ses péchés, regretter ses péchés et confesser - autrement dit avouer - ses péchés à Dieu, le Père (= repentance réelle)
  • demander pardon à Dieu, le Père
  • croire que Jésus-Christ est le seul et unique Sauveur

Permettez-moi de vous rappeler l’histoire des deux malfaiteurs qui furent crucifiés aux côtés de Jésus et d’y méditer :

 

« L’un des malfaiteurs suspendus en croix blasphémait contre lui (Jésus) : N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous ! Mais l’autre lui fit des reproches et dit : Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation ? Pour nous, c’est justice car nous recevons ce qu’ont mérité nos actes ; mais celui-ci n’a rien fait de mal. Et il dit : Jésus, souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. Jésus lui répondit : En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. » (Luc 23 ; 39-43)

 

Pensez-vous que ce brigand a eu le temps de descendre de sa croix, de s’approcher d’une vieille dame et de l’aider à traverser la route sur un passage clouté ? Pensez-vous qu’il a pu faire une bonne œuvre (action) pour se justifier auprès de Dieu ?

 

Non, il a cru que Jésus était le Fils de Dieu et c’est de cette manière qu’il a reçu le salut et par-là, l’accès à la vie éternelle !

 

C’est aujourd’hui le jour de votre salut… ne remettez pas au lendemain ce que vous pouvez faire aujourd’hui.

 

Osez vous retirer dans votre chambre (ou un autre endroit silencieux) et vous mettre devant Dieu.

 

Osez lui demander s'il existe vraiment, qu’il vous le démontre, qu’il se manifeste dans votre vie.

 

Osez vous approcher de lui et il s’approchera de vous.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 11:00

George MacLeod a écrit ces mots :

 

"Jésus n'a pas été crucifié dans une cathédrale entre deux cierges, mais sur une croix entre deux terroristes, près d'une décharge publique, près d'un croisement de routes tellement fréquentées que Son titre a dû être inscrit en 3 langues : en Hébreux, la langue des religieux de l'époque, en Latin, la langue des "barbares" de l'époque et en Grec, la langue des savants de l'époque.

 

C'était le genre d'endroit où les cyniques ne retenaient plus leurs allusions vulgaires, les voyous, leurs jurons de charretier et où les soldats pariaient sur tout et sur rien. C'est là qu'Il est mort et c'est pour eux tous qu'Il est mort." Jésus inspire profondément, étire Son corps torturé par les clous des Romains, avant de s'écrier : "Tout est accompli."

Qu'est ce qui venait d'être accompli ? La longue histoire du plan de votre rédemption et de la mienne. La mission de Jésus sur la terre venait de s'accomplir. Son travail de sélection et l'apprentissage de Ses ambassadeurs était accompli.

 

Le sang avait coulé, le sacrifice avait été consommé. La malédiction liée au pêché millénaire avait été abolie. Le dard de la mort arraché. Tout était maintenant fini, accompli, achevé.

 

Ces mots sont exactement les mêmes que ceux qui étaient inscrits sur le reçu indiquant le réglement définitif d'une dette à cette époque. Restait-il encore quelque chose à payer ? Non, la dette était acquittée entièrement.

 

Jésus 08

 

La croix est comme un comptoir d'échange. A cet endroit Dieu enlève de vos épaules le fardeau de vos péchés et le place sur celles de Jésus. Et il prend "Son manteau de Justice" pour vous en couvrir les épaules.

 

Quel échange précieux !

 

Et comment l'obtenir ? En travaillant très dur ? Absolument pas ! Vous l'obtenez seulement par la foi, en faisant confiance à Jésus-Christ et à Lui seul.

 

Bob Gass

 

Source : Connaître Dieu

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 07:00
Etre médusé

Lorsque vous êtes stupéfait par quelque chose, vous êtes généralement figé, immobile, comme pétrifié, autrement dit comme transformé en pierre...

 

Si vous avez quelques notions de la mythologie grecque, vous connaissez forcément les trois Gorgones ! Ou vous en connaissez au moins la plus célèbre, Méduse, ses soeurs étant Sthéno et Euryale.

 

Ces trois jeunes femmes à la chevelure constituée de serpents inspiraient la terreur (leur nom vient d'ailleurs du grec 'gorgos' qui voulait dire 'effrayant').

 

Bien qu'étant extrêmement laide, comme ses soeurs, Méduse séduisit le dieu de l'océan, Poseïdon, ce qui rendit Athéna suffisamment jalouse pour qu'elle affuble Méduse d'un pouvoir très particulier : elle était devenue si laide que toute personne qui la regardait dans les yeux était immédiatement transformée en pierre...

 

Méduse sera tuée par Persée qui la décapitera après s'être approché d'elle à reculons en utilisant pour se guider un bouclier poli comme un miroir. Il offrira la tête à Athéna qui la fixera sur son bouclier pour pétrifier ses ennemis, le regard de la Gorgone ayant gardé son sympathique pouvoir.

 

Si le verbe 'méduser' existe depuis le début du XVIIe siècle, il n'a guère été employé et ce n'est qu'à partir du XIXe que son participe passé est devenu commun dans notre locution. D'où le sens actuel de cette expression : ébahi, effaré, stupéfait.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 15:00

Les blondes 01

 

Pourquoi les blondes utilisent-elles du dentifrice

pour laver les pulls ? 

 

Parce qu'on leur a dit que le dentifrice

rafraîchit la laine et renforce les mailles…

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 11:00

« Tendez l’oreille et venez à moi, écoutez et votre âme vivra. » (Esaïe 55 ; 3)

 

Bible 02

 

En ce qui me concerne, il m’est difficile de vous expliquer ce qu’est le salut ou comment devenir chrétien sans vous parler, en premier lieu, du péché.

 

Le mot péché vient du mot hébreu « khàtà » qui signifie « qui manque le but » et du mot grec « harmatia » qui signifie « erreur, faux état d’esprit. »

 

Dans notre société « moderne et tolérante », le mot péché est remplacé le plus souvent par les mots « problème », « trouble », « crise », « complication », « dépendance », etc. Le mot péché est devenu obsolète car il dérange profondément le « MOI » de « l’homme moderne » !

 

La psychologie et l’humanisme nous enseignent que l’homme est bon par nature et qu’il devient mauvais par la suite. En résumé, c’est la faute aux autres, à notre entourage, à la société. Que dit la Parole de Dieu à ce sujet ?

 

« C’est pourquoi, de même que par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort a passé sur tous les hommes parce que tous ont péché… » (Romains 5 ; 12)

 

« Il n’y a pas de juste, pas même un seul… » (Romains 3 ;10)

 

« Car il n’y a pas de distinction : tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est dans le Christ-Jésus. » (Romains 3 ; 23-34)

 

« Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Christ-Jésus notre Seigneur. » (Romains 6 ; 23)

 

Comme vous pouvez le constater, la Bible enseigne tout le contraire de l’humanisme en vogue ; je suis pécheur par nature, je viens au monde pécheur, je dois prendre conscience de mes péchés afin de les confesser (avouer) à Dieu. Je dois reconnaître que j’ai manqué la cible, manqué le but, que j’ai fait des erreurs, du mal. Car, à ma connaissance, personne ne peut prétendre ne jamais avoir péché en dehors de Jésus-Christ ! Je peux pécher en pensées, en paroles et en actes. Alors qui peut dire, de manière consciente ou inconsciente, qu’il n’a jamais eu de mauvaise(s) pensée(s), qu’il n’a jamais prononcé de parole(s) blessante(s) ou le nom de Dieu en vain et qu’il n’a jamais fait de mal à qui que ce soit ?

 

L’homme a dédaigné l’amour que Dieu lui témoignait et la vie que Dieu lui offrait. Il a prétendu n’en faire qu’à sa tête, et décider lui-même de la meilleure manière d’être heureux ; son orgueil et son égoïsme l’ont dressé contre Dieu. C’est le péché !

 

Souvenez-vous, le péché originel a été commis par Adam et Ève et tout être humain en est coupable lors de sa naissance. (Genèse 3 ; 1-24)

 

« L'Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : C’est la femme que tu as mise auprès de moi qui m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Alors L'Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : le serpent m’a induite en erreur, et j’en ai mangé. » (Genèse 3 ; 11-13)

 

Ces versets ne vous rappellent rien ? Par exemple, un client demande à son fournisseur : « Pourquoi ne m’avez-vous pas livré tel article ? » Et le fournisseur répond : « Ce n’est pas de ma faute, ce doit être la secrétaire qui a mal compris ou le chef de quai qui a mal lu les instructions de la secrétaire ! » L’homme joue au « jeu d’Adam et Ève » depuis des siècles en mettant systématiquement la faute sur l’autre : « C’est pas moi, c’est lui ! » Dans le monde du travail, force est de constater que plus nous allons de l’avant, moins les gens prennent leurs responsabilités ; ils préfèrent mettre la faute sur untel ou unetelle. L’homme n’a pas vraiment progressé depuis la Genèse…

 

L’homme est également responsable devant Dieu. Il est libre d’obéir ou de désobéir… de vivre ou de mourir pour l’éternité ! Dieu lui laisse le choix, il ne l’impose jamais…

  

« J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta descendance. » (Deutéronome 30 ; 19-20)

 

Le péché est notre prétention de vivre sans Dieu. C’est une désobéissance à sa volonté et une offense à son amour. Tous les hommes sont des pécheurs.

 

« Le propre du péché est de nous séparer de Dieu. Le mal ne peut subsister en Sa présence, pas plus que les ténèbres ne peuvent coexister avec la lumière. Le message de la Croix de Jésus, c’est que Dieu nous aime, qu’iI nous accepte tels que nous sommes et nous pardonne nos péchés si nous plaçons notre confiance en lui. Jésus a en effet subi la totalité de la peine due au péché de l’homme. Jésus est mort à ma place pour mon péché. Ce fut une véritable révélation pour Martin Luther et elle le reste pour chaque chrétien. Nous sommes justifiés aux yeux de Dieu par la foi en Jésus-Christ et en Sa mort pour nous ! » (Norman Warren)

 

Voyons aussi ce que dit Jésus par rapport au péché :

 

« Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui rend l’homme impur (litt. : qui souille l’homme), mais ce qui sort de la bouche, c’est ce qui rend l’homme impur. » (Matthieu 15 ; 11)

 

« Mais ce qui sort de la bouche provient du cœur, et c’est ce qui rend l’homme impur. Car c’est du cœur que viennent les mauvaises pensées, meurtres, adultères, prostitutions, vols, faux témoignages, blasphèmes (calomnies). » (Matthieu 15 ; 18-19)

 

Jésus 14

 

Il y a une histoire que j’affectionne particulièrement qui se trouve dans l’Évangile de Jean (lire Jean 8 ; 1-11). Alors que Jésus est en train d’enseigner dans le temple, des scribes et des pharisiens amènent une femme surprise en flagrant délit d’adultère. Ils disent à Jésus que selon la loi de Moïse elle doit être lapidée. Et, pour mettre Jésus à l’épreuve, ces religieux lui demandent ce que lui, Jésus, en dit. Au lieu de leur répondre, Jésus se baisse et se met à écrire avec un doigt sur la terre. Et comme ces hommes persistent à le questionner, Jésus se redresse et leur dit :

 

« Que celui de vous qui est sans péché lui jette le premier la pierre. De nouveau il se baissa et se mit à écrire sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, à commencer par les plus âgés et jusqu’aux derniers, et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. » (Jean 8 ; 7-9)

 

Jésus, si vous me permettez cette expression, remet l’église au milieu du village en leur disant « que celui de vous qui est sans péché lui jette le premier la première pierre. » Aucun de ces hommes ne pouvait prétendre n’avoir jamais péché, soit en pensées, soit en paroles, soit en actes. Aucun ! Ils le savaient très bien et quand Jésus leur a dit cela, ils ont tous du laisser tomber leurs cailloux (ils auraient sans doute préféré être six pieds sous terre tellement ils devaient avoir honte) et s’en aller par la petite porte, sur la pointe des pieds. Vous remarquerez que Jésus ne les a pas du tout accusés, mais c’est leur conscience qui leur a rappelé leurs péchés… Et qu’a fait Jésus après cela ? Il s’est redressé et a demandé : « Femme, où sont tes accusateurs ? Personne ne t’a condamnée ? Elle répondit : Personne Seigneur. Et Jésus lui dit : Moi non plus je ne te condamne pas ; va, et désormais ne pèche plus. » (Jean 8 ; 10-11)

 

J’imagine Jésus quand Il a regardé cette femme dans les yeux. Son regard devait être à la fois rempli d’amour, de compassion et de pardon. Cette femme devait se demander ce qui lui arrivait. Plutôt que d’être condamnée, puis lapidée, elle était entièrement pardonnée. Elle a certainement du aller se réfugier dans un endroit tranquille pour pleurer de joie, prier et louer Dieu. Toutefois, ce qui pour moi est essentiel à retenir dans ce dernier verset, c’est que Jésus encourage cette femme à ne plus cultiver le pécher, à ne plus commettre l’adultère : « Va, et désormais ne pèche plus. »

 

Ce qui est valable pour elle est également valable pour chacun(e) d’entre nous. Jésus me dit la même chose ; Il vous dit la même chose : « Va, et désormais ne pèche plus. »

 

Les péchés c’est comme les excréments – pardonnez-moi cette expression -, plus on les remue, plus ils puent... Souvent, je compare le péché avec un boulet que je traîne au bout d’une chaîne. Chaque fois que je mens, j’ajoute un boulet. Chaque fois que j’agis mal, j’ajoute un autre boulet. Chaque fois que j’ai une mauvaise pensée, hop, encore un autre boulet. Ces huit dernières années sans demander pardon à Dieu, huit années sans me repentir... vous imaginez la longueur de la chaîne ? Et bien, j’ai une bonne nouvelle pour vous, Dieu peut briser vos chaînes ! Il n’y en a pas de trop grosse ou de trop nombreuses pour lui !

 

Personne ne peut arriver devant Dieu en étant pur. Si vous pensez que vous avez trop de péchés pour vous présenter devant Dieu, que vous n’êtes pas digne de lui, alors sachez que c’est un mensonge (un de plus) du diable. Dieu vous aime tel que vous êtes ! Il est votre Créateur ! Et c’est sa volonté que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. (1 Timothée 2 ; 4)

 

Il n’y a pas de gros péché ni de petit péché devant Dieu. Il n’existe pas uniquement « les sept péchés capitaux » comme l’église catholique ou les médias aiment à nous le faire croire dans le monde ! Il n’y a que le péché ! Vous vous dites peut-être que Dieu ne peut pas vous pardonner car ce que vous avez fait est trop horrible ! Pourtant, il est écrit :

 

« Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice. » (1 Jean 1 ; 9)

 

ou encore

  

« Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas couvert ma faute ; J’ai dit : Je confesserai mes transgressions à l’Éternel ! Et toi, tu as enlevé la faute de mon péché. » (Psaume 32 ; 5)

 

De nombreuses personnes pensent que leur vie est en ordre, qu’elles n’ont rien à se reprocher, rien à se faire pardonner. Peuvent-elles dire qu’elles n’ont jamais menti, qu’elles n’ont jamais fraudé le fisc, qu’elles n’ont jamais passé de la marchandise en douce à la douane, qu’elles n’ont jamais eu de mauvaises pensées, qu’elles n’ont jamais rien convoité, jamais commis d’adultère, jamais trompé la confiance d’un ami, d’un conjoint, d’un parent, d’un(e) collègue de travail ? N’ont-elles jamais été orgueilleuses, envieuses, jalouses ? Et si elles demandaient au Saint-Esprit de leur révéler leurs péchés, pensez-vous qu’il n’aurait rien à leur signaler ?

 

Nous sommes tous des pécheurs devant l‘Éternel car le péché, telle une maladie, se propage par l’hérédité (péché originel) et par la contagion de l’exemple. Le péché originel a été commis par Adam et Ève et, qu’on le veuille ou non, tout être humain naît pécheur (lire Genèse 3 ; 1-24). Donc, même si vous ne semblez pas avoir péché, que votre vie est basée sur des sentiments droits et honnêtes, je vous encourage à vous tourner vers Dieu et à vous repentir ! Ce ne sont ni les sentiments, ni les émotions, ni les hommes, ni la religion qui peuvent véritablement guider notre vie, mais l’Esprit de Dieu !

 

« Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés. » (Actes 3 ; 19)

 

Se repentir d’abord, se convertir ensuite car il n’est pas possible de devenir un disciple du Seigneur sans avoir passé par cette première étape.

 

Lorsqu’il était sur la croix, Jésus a dit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » (Luc 23 ; 34) Il n’a pas dit : « Pardonne-leur leurs petits péchés ou pardonne-leur leurs grands péchés. » Il a demandé à Dieu, Notre Père Céleste, de nous pardonner tout court !

 

Jésus crucifié 01 

 

Jésus a payé la note de manière parfaite et définitive il y a plus de deux mille ans ! Nous avons tous été rachetés à ce moment là et c’est par la foi que nous recevons de Dieu que nous nous convertissons !

 

Dieu m’a donné une nouvelle nature, même s’il m’arrive encore de pécher. Ma vieille nature (le vieil homme) est toujours là et elle le sera jusqu’au jour de ma mort. A ce moment-là, Dieu m’en délivrera définitivement !

 

Quand je regarde mon parcours, je dois constater que malgré mon éducation protestante, malgré mes années passées au sein d’églises évangéliques et malgré ma conversion en 1981, je me suis éloigné du Seigneur parce que, pendant toutes ces années, j’ai marché à ma manière et en écartant Dieu. Autrement dit, j’ai marché davantage selon ma propre volonté, mes propres idées, mes sentiments, mes émotions et mes propres désirs plutôt que selon le plan de Dieu pour ma vie.

 

Voyons ce que la Parole nous dit à ce sujet dans Galates 5 ; 19-21 :  « Or, les œuvres de la chair sont évidentes; c’est-à-dire inconduite, impureté, débauche, idolâtrie, magie, hostilités, discorde, jalousie, fureurs, rivalités, divisions, partis pris, envie, ivrognerie, orgies et choses semblables. Je vous préviens comme je l’ai déjà fait : ceux qui se livrent à de telles pratiques n’hériteront pas du royaume de Dieu. »

 

Dans Matthieu 18, au verset 3, Jésus dit : « En vérité, je vous le dis, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez point dans le royaume des cieux. »

 

En ce qui me concerne, je n’ai pas su rester un petit enfant et je me suis laissé guider par les hommes et l’esprit de ce monde, souvent en empruntant le spacieux chemin – pour ne pas dire le boulevard - qui mène à la perdition. Mais Dieu veillait et, dans sa bonté et par sa grâce, c’est lui qui m’a remis sur le bon chemin. Je parle de chemin car dans Matthieu 7; 13-14, Jésus nous révèle ceci :  « Entrez par la porte étroite car large est la porte et spacieux le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte et resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui le trouvent. »

 

Jésus 15

 

J’ai donc décidé de prendre une nouvelle direction et d’obéir, en toute circonstance, à Dieu plutôt qu’aux hommes. Dieu a un plan pour moi… Dieu a un plan pour vous. Et il veut le réaliser en nous et par nous. Désirez-vous faire ce pas ? Il vous suffit simplement de vous mettre à genoux, dans un lieu tranquille et de faire la prière suivante à haute voix :

 

« Seigneur Dieu, tu connais le fond de mon cœur. Je suis coupable et me repends sincèrement pour toute ma vie de péchés. Je me repends également pour tout le mal que j’ai pu faire volontairement ou involontairement. Je te demande pardon de tout mon cœur, Seigneur Dieu. Je crois que ton Fils, Jésus-Christ, s’est sacrifié pour me purifier de toutes mes iniquités. Merci parce que je sais que tu m’as pardonné et que tu vas pourvoir à tous mes besoins. Amen »

 

Ensuite vous pouvez continuer de la manière suivante en vous adressant, cette fois-ci, directement à Jésus, toujours à haute voix : « Seigneur Jésus, à partir de ce jour, je te remets les rênes de ma vie car je veux te suivre. Je te confie tout ce qui me pèse et te prie de briser les chaînes qui me retiennent captif. Donne-moi la force de renoncer au mal et de persévérer dans l’obéissance de ta volonté ! Je crois que ton sang versé, que ta mort et ta résurrection étaient aussi pour moi. Je crois que tu es le Fils de Dieu. Je te demande maintenant de devenir mon Sauveur et mon Seigneur. Je te remercie pour l’offre du salut et la vie éternelle par ta grâce. Amen ! »

 

C’est aujourd’hui le jour de votre salut. Dieu vous aime et il désire que vous soyez sauvé(e) !

 

Ne tardez pas à vous approcher de Lui et à changer de vie car il n’est pas trop tard pour le faire !

 

Jésus lui dit : « Moi je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14 ;6)

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 07:00
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"Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur."

  

Albert Camus

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