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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 10:44
A méditer
A méditer

"Je lis ma bible pour savoir ce que les hommes devraient faire
et mon journal pour savoir ce qu'ils ont fait."


John Henry Newman

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 12:40
Une vie après la vie ?

Voici, ci-dessous, une histoire qui nous permet de méditer au sens de notre propre vie, à la problématique de l'avortement, à la vie après la vie sur cette terre, etc... 

 

Deux bébés discutent.

 

- Bébé 1 : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?

 

- Bébé 2 : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Nous sommes ici pour devenir forts et nous préparer pour ce qui nous attend après.

 

- Bébé 1: Pffff... tout ça, c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement ! A quoi ressemblerait une vie hors du ventre ?

 

- Bébé 2 : Eh bien, il y a beaucoup d'histoires à propos de "l'autre côté"... On dit que, là-bas, il y a beaucoup de lumière, beaucoup de joie et d'émotions, des milliers de choses à vivre... Par exemple, il paraît que là-bas on va manger avec notre bouche.

 

- Bébé 1 : Mais c’est n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Tout le monde le sait. On ne se nourrit pas par la bouche ! Et, bien sûr, il n’y a jamais eu de revenant de cette autre vie... donc, tout ça, ce sont des histoires de personnes naïves. La vie se termine tout simplement à l’accouchement. C'est comme ça, il faut l'accepter.

 

- Bébé 2 : Eh bien, permet moi de penser autrement. C'est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler, et je ne pourrais rien te prouver. Mais j'aime croire que, dans la vie qui vient, nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.

 

Bébé 1 : "Maman" ? Tu veux dire que tu crois en "maman" ??? Ah ! Et où se trouve-t-elle ?

 

Bébé 2 : Mais partout, tu vois bien ! Elle est partout, autour de nous ! Nous sommes faits d'elle et c'est grâce à elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là.

 

Bébé 1 : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.

 

Bébé 2 : Je ne suis pas d’accord, ça c'est ton point de vue. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… On peut sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie va commencer après l’accouchement... 

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 06:00

Voici une anecdote qui m'a touché et que je désire partager avec vous... Est-elle véridique ? Je ne le sais pas, mais je la trouve vraiment extraordinaire, compte tenu du contexte de ce monde dans lequel nous vivons...

 

Un professeur de géographie demanda à un groupe d'étudiants:

 

"Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les 7 merveilles du monde actuel."

 

Malgré quelques désaccords, la majorité d'entre eux répondit:

 

1 - Les grandes pyramides d'Égypte

2 - Le Taj Mahal

3 - Le Grand Canyon

4 - Le Canal de Panama

5 - L'Empire State Building de New-York

6 - La Basilique St-Pierre de Rome

7 - La grande muraille de Chine

 

Les 7 merveilles du monde 01

 

Alors que le professeur ramassait les réponses, il se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Il lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste.

 

L'élève lui répondit : "Oui, un peu. Je n'arrivais pas à me décider car il y en a tellement."

 

Le professeur lui répondit : "Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider."

 

La jeune fille hésita, puis commença sa lecture:

 

"Je crois que les 7 merveilles du monde sont:

 

1 - Le toucher

2 - Le goût

3 - La vue

4 - L'ouïe

 

Elle hésita un peu, puis ajouta...

 

5 - Les sentiments

6 - Le rire

7 - L'amour "

 

On aurait pu entendre une épingle tomber tellement le silence dans la classe était grand.

 

Toutes ces choses que nous ne remarquons plus, tellement elles sont " simples et ordinaires" sont en réalité, des merveilles.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

 

« Souvenez-vous que les choses les plus précieuses

de la vie ne peuvent s'acheter. »

 

Auteur inconnu

Les 7 merveilles du monde
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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 09:00
Vraie amitié

C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. A un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre…

 

Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable: « Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle ».

 

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent une oasis dans laquelle ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.

 

Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre : « Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la vie. »

 

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda : « Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ? »

 

L'autre ami répondit: « Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer ».

 

Et si nous apprenions à écrire nos blessures dans le sable et à graver nos joies dans la pierre...

  

Bien à vous !

 

Georges Musy

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 11:14
Si la confiance du coeur...

« Si la confiance du cœur était au commencement de tout…
Si elle précédait toute démarche, petite ou grande…
Tu irais loin, très loin. 

 Tu percevrais personnes et événements non pas avec
cette inquiétude qui t’isole et ne vient pas de Dieu,
Mais à partir d’un regard intérieur de paix. »

 

Frère Roger, Taizé

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 09:00
Le bonheur

"Le bonheur n'est pas une destination à atteindre,

c'est une manière de voyager."

 

Margaret Lee Rumbeck

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 10:00
Vous avez dit "écolo ?"

Voici une petite histoire que je viens de recevoir par e-mail de la part d'un ami que je remercie au passage... Elle reflète parfaitement la société de consommation dans laquelle nous vivons avec ses aberrations...

 

Même si ce qui suit fait sourire de prime abord, je vous laisse méditer sur ce sujet, surtout pour celles et ceux qui font partie de ma génération...

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

 

 

A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La jeune caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit :

- Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !

 

La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :

- Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologiste de mon temps.

Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :

- Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps !

 

Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : Les bouteilles étaient recyclées,

 

Mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.

 

Elle ajoute : De mon temps, on montait l'escalier à pied : On n'avait pas d'escaliers roulants et peu d’ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues : On marchait jusqu'à l'épicerie du coin.

 

Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

 

On ne connaissait pas les couches jetables : On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge, pas dans un machine de 3 000 watts. On utilisait l'énergie éolienne et solaire pour sécher les vêtements. On ravaudait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une sœur à l'autre.

 

Mais, vous avez raison, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

 

On n'avait qu'une TV (quand on en avait…) ou une radio dans la maison ; pas une dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Texas. On avait un réveil qu’on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

 

On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto-portées : On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon. On travaillait physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.

 

Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

 

On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo. On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.

 

Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

 

Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 heures sur 24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.

 

Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

 

On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 10:00
Une époque formidable !

Comme disait l'autre, nous vivons une époque formidable ! 

 

Voyez plutôt ci-dessous, en faisant le parallèle entre 1969 et 2011...

 

Du lait, du beurre et des Oeufs

 

En 1969 :

 

Tu vas chercher du lait chez le crémier, qui te dit bonjour , avec ton bidon en alu, et tu prends du beurre, fait avec du lait de vache, coupé à la motte. Puis tu demandes une douzaine d’œufs qu'il sort d'un grand compotier en verre.

 

Tu paies avec le sourire de la crémière, et tu sors sous un grand soleil. Le tout a demandé 10 minutes.

 

En 2011 :

 

Tu prends le caddie de m... dont une roue est coincée et qui le fait aller dans tous les sens sauf celui que tu veux, tu passes par la porte qui devrait tourner mais qui est arrêtée par ce qu'un benêt l'a poussée, puis tu cherches le rayon crèmerie où tu te les gèles, pour choisir parmi 12 marques le beurre qui devrait être fait à base, de lait de la communauté. Et tu cherches la date limite...

 

Pour le lait : tu dois choisir avec des vitamines, bio, allégé, très allégé, nourrissons, enfants, malades, ou mieux en promo avec la date dessus et la composition....

 

Pour les œufs: tu cherches la date de la ponte, le nom de la société et surtout tu vérifies qu'aucun œuf n'est fêlé ou cassé, et paf !!! tu te mets plein de jaune sur le pantalon !!!

 

Tu fais la queue à la caisse, la grosse dame devant toi a pris un article en promo qui n'a pas de code barre... alors tu attends, et tu attends..., puis toujours avec ce foutu caddie de m..., tu sors pour chercher ton véhicule sous la pluie, tu ne le retrouves pas car tu as oublié le numéro de l'allée....

 

Enfin après avoir chargé la voiture, il faut reporter l'engin pourri et là, tu vas t'apercevoir qu'il est impossible de récupérer ta pièce de 1 franc..., tu reviens à ta voiture sous la pluie qui a redoublé... Cela fait plus d'une heure que tu es parti.


Michel doit aller dans la forêt après la classe. Il montre son couteau à Jean avec lequel il pense se fabriquer un lance-pierre.

 

En 1969 :

 

Le directeur voit son couteau et lui demande où il l'a acheté pour aller s'en acheter un pareil.

 

En 2011 :

 

L'école ferme, on appelle la gendarmerie, on emmène Michel en préventive. TF1 présente le cas aux informations en direct depuis la porte de l'école.

 

Discipline scolaire.

 

En 1969 :

 

Tu fais une bêtise en classe = Le prof t'en colle deux.. En arrivant chez toi = ton père t'en recolle deux autres.

 

En 2011 :

 

Tu fais une bêtise = Le prof te demande pardon.

 

Ton père t'achète une console de jeux et va casser la gueule au prof.!!!

 

Dominique et Marc se disputent. Ils se flanquent quelques coups de poing après la classe.

 

En 1969 :

 

Les autres les encouragent,

 

Marc gagne.

 

Ils se serrent la main et ils sont copains pour toute la vie.

 

En 2011 :

 

L'école ferme.

 

FR3 proclame la violence scolaire, relayé par FR2 et TF1 au journal de 20 heures.

 

Le lendemain, Le Parisien et France Soir en font leur première page et écrivent 5 colonnes sur l'affaire.

 

Eric casse le pare brise d'une voiture du quartier. Son père sort le ceinturon et lui fait comprendre la vie.

 

En 1969 :

 

Eric fera plus attention la prochaine fois, grandit normalement, fait des études, va à la fac et devient un excellent homme d'affaires.

 

En 2011 :

 

La police arrête le père d'Eric pour maltraitance sur un mineur...

 

Eric rejoint une bande de délinquants.

 

Le psy arrive à convaincre sa sœur que son père abusait d'elle et le fait mettre en prison.

 

Jean tombe pendant une course à pied Il se blesse au genou et pleure. Sa prof Jocelyne le rejoint, le prend dans ses bras pour le réconforter.

 

En 1969 :

 

En deux minutes Jean va beaucoup mieux et continue la course.

 

En 2011 :

 

Jocelyne est accusée de perversion sur mineur et se retrouve au chômage, elle écopera de 3 ans de prison avec sursis.

 

Jean va de thérapie en thérapie pendant 5 ans.

 

Ses parents demandent des dommages et intérêts à l'école pour négligence et à la prof pour traumatisme émotionnel.

 

Ils gagnent les deux procès.

 

La prof, au chômage est endettée, se suicide en se jetant d'en haut d'un immeuble.

 

Plus tard, Jean succombera à une overdose au fond d'un squat !!!

 

Arrive le 25 octobre

 

En 1969 :

 

Il ne se passe rien.

 

En 2011 :

 

C'est le jour du changement d'horaire : les gens souffrent d'insomnie et de dépression.

 

La fin des vacances...

 

En 1969 :

 

Après avoir passé 15 jours de vacances en famille, en Bretagne, dans la caravane tractée par une 403 Peugeot, les vacances se terminent.

 

Le lendemain = tu repars au boulot, frais et dispos.

 

En 2011 :

 

Après 2 semaines aux Seychelles, obtenues à peu de frais grâce aux « bons vacances » du

Comité d'Entreprise, tu rentres fatigué et excédé par 4 heures d'attente à l'aéroport, suivies de 12 heures de vol.

 

Au boulot = il te faut 1 semaine pour te remettre du décalage horaire !

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

Une époque formidable !
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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 14:00
Les 3 tamis de Socrate

J'apprécie beaucoup, surtout en tant que responsable RH, cette histoire attribuée à Socrate et que je désire vous faire partager pour le cas où vous ne la connaîtriez pas encore...

 

Un jour, un homme vint trouver le philosophe Socrate et lui dit :

- Ecoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit...

- Je t'arrête tout de suite, répondit Socrate. As-tu songé à passer ce que tu as à me dire au travers des trois tamis ?

Et comme l'homme le regardait d'un air perplexe, il ajouta :

- Oui, avant de parler, il faut toujours passer ce qu'on a à dire au travers des trois tamis.

 

Voyons un peu... ! Le premier tamis est celui de la vérité. As-tu vérifié que ce que tu as à me dire est parfaitement exact ?

- Non, je l'ai entendu raconter et...

- Bien ! Mais je suppose que tu l'as au moins fait passer au travers du second tamis, qui est celui de la bonté. Ce que tu désires me raconter, est-ce au moins quelque chose de bon ? L'homme hésita, puis répondit :

- Non ce n'est malheureusement pas quelque chose de bon, au contraire...

- Hum ! dit le philosophe. Voyons tout de même le troisième tamis. Est-il utile de me raconter ce que tu as envie de  me dire ?

- Utile... ? Pas exactement...

- Alors n'en parlons plus ! dit Socrate. Si ce que tu as à me dire n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère l'ignorer. Et je te conseille même de l'oublier.

 

Si nous avons vent d'une information, que devons-nous faire avant de la transmettre plus loin ?

 

Personnellement, je pense qu'il est utile de nous poser les vraies questions et de retenir les points suivants pour notre propre vie :

 

-  L'information que je vais transmettre est-elle vraie ? Y-a-t-il un témoin qui peut la confirmer ? Ne serait-ce pas plutôt une rumeur, un "ouï-dire" ?

 

-  Cette information est-elle positive, constructive ?

 

-  Est-elle utile ?

 

Si une seule réponse à ces 3 questions est NON, alors nous devons nous demander si cette information doit être diffusée... ou si nous ne devons pas plutôt l'oublier... surtout s'il s'agit d'une personne qui pourrait être blessée suite à nos déclarations infondées...

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 11:00
Honore ton père et ta mère

« Honore ton père et ta mère »

C’est oser faire des tris…

Si je veux être heureux sur cette terre !!!

 

 

Prenez le cinquième commandement : « Honore ton père et ta mère. » Voilà un commandement qui, du temps où l’on fonctionnait dans le système du devoir, était très pratique, formidable – pour peu qu’on le déforme un peu. Il suffisait de changer le verbe « honorer » par le verbe « vénérer » et de remplacer « père, mère » par « parents » pour que tout marche à l’envers. 

 

La Bible n’a jamais parlé de parents ici, mais de père et de mère. Donc deux individus totalement différents, avec une culture différente, un passé différent, une façon différente d’aborder les problèmes.

 

Alphonse Maillot, l’un des traducteurs de la TOB, explique le sens du verbe « honorer », en hébreu, et j’aime beaucoup son explication : le verbe « honorer » veut dire « donner du poids ». Là où les peuples anciens demandaient la vénération, Dieu emploie un verbe totalement différent et libérateur en employant le verbe honorer. Honorer ne veut pas dire vénérer, mais donner du poids, reconnaître le poids de quelqu’un. Honorer Dieu, c’est reconnaître le poids de Dieu dans ma vie. Honorer mon père et ma mère, c’est reconnaître le poids, en bien et en mal, en bon et en mauvais, qu’ils ont eu dans mon existence. Et le texte ajoute : alors, tu auras des jours heureux sur la terre. Si tu es capable de regarder ton père et ta mère et d‘entrer en conflit avec eux, de peser le bien et le mal que tu as reçu d’eux, le reconnaître, en tirer les conséquences et t’en libérer, alors tu as une chance d’avoir des jours heureux. Mais si je prends le verbe honorer dans le sens de vénérer, cette histoire devient magique. On est dans ce qu’on appelle le complexe de Noé – c’est-à-dire qu’on a peur de découvrir que nos parents étaient nus. Psychologiquement parlant, bien sûr. Et quelque part, les parents qui enseignaient à leurs enfants cette vénération de la génération passée, se protégeaient eux aussi de toute critique de la génération qui montait. C’est facile, ce genre d’éducation !

 

Aujourd’hui, je laisse le droit à mes enfants de m’honorer, de regarder ce qu’il y avait de bien et de moins bien. Aujourd’hui, les hommes et les femmes qui ne font pas ce travail-là diminuent leurs chances d’avoir des jours heureux devant eux.

 

 (Tiré du livre sur les conflits de Jacques Poujol)

 

« Vous savez en effet que ce n’est point par des choses périssables – argent ou or – que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre, héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache. » (1 Pierre 1 ; 18-19)

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