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12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 11:00
A méditer

Un professeur universitaire défia ses étudiants avec cette question :
 

- Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ? Un étudiant répondit
bravement : - Oui, Il l'a fait ! 
Le professeur dit : Dieu a tout créé ? 
- Oui, Monsieur, répliqua l'étudiant. 
Le professeur répondit, 
- Si Dieu a tout créé, Il a donc aussi créé le mal puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais.


L'étudiant fut silencieux devant une telle réponse. Le professeur était
tout à fait heureux de lui-même et il se vantait devant les étudiants
d'avoir su prouver encore une fois que la foi en Dieu était un mythe.

Un autre étudiant leva sa main et dit : 
- Puis-je vous poser une question professeur ? 
- Bien sûr, répondit le professeur. 
L'étudiant répliqua : Professeur, le froid existe-t-il ? 
- Quel genre de question est-ce cela ? Bien sûr qu'il existe. Vous
n'avez jamais eu froid ? dit le professeur. 
Le jeune homme répondit : En fait monsieur, le froid n'existe pas. Selon la
loi de physique, ce que nous considérons être le froid est en réalité
l'absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de
l'ENERGIE. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui
transmet de l'ENERGIE. Le zéro Absolu (-460 F) est l'absence totale de
chaleur; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette
température. Le Froid n'existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire
ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur.  


L'étudiant continua :

- Professeur, l'obscurité existe-t-elle ? 
Le professeur répondit :

- Bien sûr qu'elle existe ! 
L'étudiant : 

- Vous avez encore tort Monsieur, l'obscurité n'existe pas non plus. L'obscurité est en réalité l'absence de LUMIÈRE. Nous pouvons étudier la LUMIÈRE, mais pas l'obscurité. En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour faire augmenter la LUMIÈRE blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité. Un simple rayon de LUMIÈRE peut faire
irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer. Comment pouvez-vous
savoir l'espace qu'occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de
LUMIÈRE présente. N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé
par l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de LUMIÈRE.

Finalement, le jeune homme demanda au professeur : 
- Monsieur, le mal existe-t-il ?

Maintenant incertain, le professeur répondit : - Bien sûr, comme je l'ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour. C'est dans les exemples quotidiens de l'inhumanité de l'homme envers l'homme. C'est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d'autre que du mal ! 
L'étudiant répondit : - le Mal n'existe pas Monsieur, ou au moins il
n'existe pas de lui-même. Le Mal est simplement l'absence de Dieu. Il
est comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour
décrire l'absence de Dieu. Dieu n'a pas créé le mal. Le Mal n'est pas
comme la foi, ou l'AMOUR qui existe tout comme la LUMIÈRE et la chaleur.
Le Mal est le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'AMOUR de
Dieu dans son cœur. Il est comme le froid qui vient quand il n'y a
aucune chaleur ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune LUMIÈRE. *

Le professeur s'assit, abasourdit par une telle réponse. 

 

Le nom du jeune étudiant ? Il s’agissait d’Albert Einstein.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

A méditer
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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 15:00
Comment faisions-nous avant ?

Cet article est dédié à toutes les personnes qui sont nées entre 1955 et 1980 (et avant)... avec un certain brin de nostalgie !

 

La vérité c'est que je ne sais pas comment nous avons pu survivre à notre enfance !! En y pensant, il est difficile de croire que nous avons survécu...

 

On voyageait dans des voitures sans ceintures de sécurité, sans sièges spéciaux et sans Airbag, on faisait des voyages de 10-12H avec 5 personnes dans une Renault 4 ou une Mini et on n'avait pas le syndrome de la classe Touriste.

 

Nous n'avions pas des portes avec protections, des armoires ou des boites de médicaments avec des couvercles spéciaux pour enfants. On allait à vélo sans casque, sans protections pour les genoux ni les coudes. Les balançoires étaient de métal avec des coins pointus et nous jouions pour voir qui était le plus fou.

 

On passait des heures à construire nos "véhicules" avec des bouts de roues pour descendre les côtes et alors seulement nous découvrions que l'on avait oublié les freins. Après s'être éclatés contre un arbre, on apprenait à résoudre le problème.

 

On jouait au "mouchoir" et aux "gendarmes et aux voleurs" et personne ne souffrait d'hernies ou de vertèbres déplacées. On sortait de la maison le matin et jouait toute la journée, et on rentrait seulement quand les lumières de la rue s'allumaient.

 

Personne ne pouvait nous localiser. On cherchait du bois dans les poubelles ou n'importe où et on faisait des cabanes pour passer un moment dedans. Il n'y avait pas de portables. On se cassait les os et les dents et il n'y avait aucune loi pour punir les coupables.

 

On s'ouvrait la tête en jouant à la guerre avec des pierres et tout se passait bien, c'était des trucs d'enfants et on se soignait avec du mercurochrome (rouge) et quelques points de suture et le jour suivant on était tous contents. La moitié de nos compagnons de classe avait le menton cassé ou quelques dents en moins, ou une bosse à la tête.

 

On se battait et on se mettait sur la tronche les uns aux autres et on apprenait à le surmonter.

 

On allait en classe chargé de livres, tous mis dans un sac à dos qui, rarement, avait des renforts pour les épaules et encore moins souvent des roues !!! On mangeait des bonbons et on buvait des sodas mais sans être obèses. Oui des fois certains étaient gros comme dans tous les groupes. On était toujours en train de courir et jouer en plein air. On partageait des boissons et personne ne tombait malade.

 

On attrapait seulement des poux dans les cheveux, et nos mères arrangeaient tout ça en nous lavant la tête avec du vinaigre chaud.

 

On n'avait pas de Playstation, ni de Nintendo 64, de jeux vidéos, 99 chaînes de télé, des films en DVD, le Son Surround, des portables, des ordinateurs ni Internet, mais on s'occupait en lançant des bombes à eau et en se battant sur le sol, déchirant nos vêtements.

 

Nous, oui, on avait des amis. On se donnait rendez-vous et on sortait ensemble. on n'avait pas de rendez-vous, on sortait dans la rue et là on se rencontrait et on jouait aux billes, à cache-cache ... que du high-tech ! On y allait en vélo ou en marchant jusqu'à leur maison et on appelait à la porte. Imaginez-vous ! sans demander la permission aux parents, et on allait seul, là, dehors, dans ce monde cruel ! sans personne de responsable !! Comment avons-nous fait ??!!

 

On inventait des jeux avec des bouteilles, des bouts de bois et des ballons de foot improvisés.

 

On buvait l'eau directement du robinet dans les fontaines publiques où les chiens avaient bu !

 

On allait chasser des lézards et des oiseaux avec un fusil à plomb avant d'être majeur et sans adulte.

 

Aux jeux, à l'école, il n'y avait pas tout le monde qui participait.. Ceux qui n'y participait pas, devaient surmonter seul la déception. Quelques écoliers n'étaient pas intelligents comme les autres et devaient redoubler. Ils n'avaient pas inventé les examens de rattrapage !!!

 

Et on sortait avec des filles en les persécutant pour leur toucher les fesses et on jouait à leur faire des bisous, avec audace et pour de vrai !! On était responsable de nos actions et on assumait les conséquences.. Il n'y avait personne d'autre pour décider. L'idée d'un père nous protégeant, si on transgressait une loi, était inadmissible, et si notre père nous donnait une correction ou une claque, on se taisait ...

 

On était libre, il y avait des hauts et des bas, des responsabilités et on apprenait à grandir avec tout ça...

 

En 2011 tout est devenu (trop) politiquement correct. Il y a une foule de lois pour tout et surtout pour rien et nos enfants vivent la plupart du temps dans un monde virtuel... bref, nous vivons dans un monde devenu qui marche sur la tête ! 

 

Bien  vous !

 

Georges Musy

Comment faisions-nous avant ?
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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 11:00
Partager la valeur de notre temps

Il y a quelque temps déjà, un ami m'a fait parvenir l'histoire ci-après. Elle m'a beaucoup touché et c'est pour cette raison que je désire également la partager avec vous...

 

Un jour, un homme revient du travail très tard le soir, fatigué par sa dure journée de labeur et agacé par plusieurs clients. Il trouve son fils de 5 ans qui l'attend sur le seuil de la porte d'entrée de sa maison.

 

- Papa, je peux te poser une question ? demande le fils à son père.

- Dis-moi..., répond son père.

- Je veux juste savoir... S'il te plaît, combien tu gagnes par heure ? 

- Je gagne 60 francs par heure !

- Ah ! répond le petit garçon en regardant le sol, l'air triste... Papa, tu peux me prêter 20 francs ?

 

Le père s'énerve et lui dit : C'est pour cette raison que tu me demandes cela ? Penses-tu que c'est de cette manière que tu peux obtenir de l'argent pour t'acheter des jouets ? Allez, va vite au lit et fiche-moi la paix, je suis très fatigué ! Tu penses que je travaille durement chaque jour pour gaspiller de l'argent ?

 

Le petit garçon reste silencieux, retient ses larmes, obéit à son père, file dans sa chambre et ferme sa porte.

 

Le père se dirige vers le frigo, prend une bière et s'énerve encore davantage avec sa femme. Comment ose-t-il poser ce genre de questions ? dit-il. Il ne pense qu'à s'acheter des jouets alors que nous avons des factures à payer !

 

Après avoir mangé sur le pouce, l'homme se ressaisit et dit à son épouse : Peut-être que le petit avait vraiment besoin d'acheter quelque chose avec ces 20 francs... et après tout ce n'est pas dans ses habitudes de demander de l'argent. Je vais aller voir s’il est encore réveillé et lui poser la question.

 

Le père se rend donc vers la chambre de l'enfant. Il frappe à la porte et entre : Tu dors mon fils ? demande-t-il.

- Non papa, je suis encore réveillé répond le petit avec une petite voix remplie de tristesse.

- Je pense que j'ai été trop dur avec toi tout à l'heure. Tu sais, j'ai eu une journée très difficile et j'ai déchargé ma colère sur toi. Je te demande de me pardonner. Voici les 20 francs que tu m'as demandés. 

Le petit garçon, tout fou, sourit et s'écrie : Merci papa ! Je te pardonne tu sais...

 

Sur ce, le fils se lève de son lit et va prendre une boîte dans son armoire. Et là, il se met à compter son argent.

 

Le père, qui constate que le gamin a déjà de l'argent commence de nouveau à s'énerver.

 

- Pourquoi voulais-tu davantage d'argent  si tu en avais déjà dans ta boîte ?

- Papa, c'est parce que je n'en avais pas assez ! répond le fils. A présent, j'ai exactement 60 francs... puis-je acheter une heure de ton temps ? S'il te plaît, demain, tu peux arriver plus tôt à la maison car j'aimerai tant manger avec toi !

 

Le père reste muet de surprise. Des larmes coulent de ses yeux, il se met à genoux devant son fils et le prend dans ses bras. Il l'embrasse tendrement et lui demande à nouveau pardon pour tout ce temps qu'il ne lui pas accordé depuis plusieurs mois...

 

Cette histoire est juste un petit rappel à toutes celles et ceux qui travaillent dur dans la vie.

 

Nous ne devons pas la laisser filer entre les doigts sans avoir passé du temps avec celles et ceux qui en ont vraiment besoin, celles et ceux qui sont proches de notre cœur !

 

N'oublions pas de partager ces 60 francs (la valeur de notre temps) avec une personne que nous aimons.

 

Si nous mourons demain, l'entreprise pour laquelle nous travaillons pourra facilement nous remplacer dans les prochaines heures (les cimetières ne sont-ils pas remplis de gens soi-disant irremplaçables ?). Mais notre famille et nos amis souffriront de ce manque de partage, parfois pour le reste de leur vie...

 

Rassurez-vous, ce message je le prends d'abord pour moi-même car je suis conscient que je dois encore m'améliorer dans ce domaine.

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 09:04
Etre jeune

La jeunesse n’est pas une période de la vie,

Elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,

Une qualité de l’imagination, une intensité émotive,

Une victoire du courage sur la timidité,

Du gout de l’aventure sur l’amour du confort.

 

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années,

On devient vieux parce qu'on a déserté son idéal.

Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme.

Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs

Sont des ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre

Et devenir poussière avant la mort.

 

Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande,

Comme l’enfant insatiable : Et après ? Il défie les événements,

Et trouve de la joie au jeu de la vie.

 

Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute.

Aussi jeune que votre confiance en vous-même.

Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.

 

Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.

Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages

De la nature, de l’homme et de l’infini.

 

Si un jour, votre cœur allait être mordu par le pessimisme

Et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.

 

Général Douglas MacArthur (1880-1964)

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 19:15
A ceux qui n'y croiraient plus
A ceux qui n'y croiraient plus

Mon épouse a soigneusement découpé l'article que j'ai à cœur de partager avec vous ci-dessous. Je la remercie car ce que vous allez lire peut s'adresser à tout le monde... ou presque !

 

Personnellement, j'ai été touché par ce billet qui est paru dans le quotidien fribourgeois "La Liberté" sauf erreur de ma part le 23 décembre dernier... Il se situait tout en bas de la première page, dans la "plage de vie" et s'intitule : "A ceux qui n'y croiraient plus"  

 

Ils ne croient plus en eux, alors le Père Noël, n'en parlons pas ! Parlons donc plutôt de ce conférencier qui, un soir, commence par brandir un billet de 200 francs et par demander au public : Parmi vous, qui veut ce billet ?" Des mains se lèvent. Il scrute l'auditoire en silence, puis chiffonne le billet avec rage et interroge : "Qui aimerait ce billet ?" Des mains se lèvent à nouveau. "Vous n'avez pas changé d'avis, mais que se passera-t-il si je fais ça... ?" Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus. "Quelqu'un veut-il encore de ce billet ?" Des mains, toujours plus nombreuses, se lèvent. Joie du conférencier : "Merci les amis ! Vous venez de prouver qu'en dépit de ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé. Alors pensez à vous, à votre vie. Vous avez parfois été froissé, rejeté, malmené par les événements ou par les gens, et vous croyez que vous ne valez plus rien. Or, en réalité, votre valeur n'a pas changé..." (PBY)

 

Je ne connais pas personnellement ce conférencier et je ne connais pas ni le thème ni la suite de sa conférence... et l'histoire ne dit pas s'il a finalement distribué son billet à quelqu'un... Mais là n'est pas la question.

 

En ces périodes de fêtes de fin d'année, je pense souvent à ces personnes seules, jeunes ou moins jeunes, celles qui viennent de perdre un être cher (conjoint, enfant, frère, sœur, oncle, tante, cousin, cousine, ami, amie, etc.), celles qui se disent : "je suis seul et personne ne se préoccupe de moi..." ou "je suis seul car je ne vaux rien et personne ne m'aime..."

 

Dans la Bible, il est écrit que Dieu ne regarde pas aux apparences, mais au cœur de l'homme. (1 Samuel 16; 7)

 

Ce conférencier a parfaitement raison lorsqu'il affirme : "votre valeur n'a pas changé..."

 

C'est ce que nous faisons de nos épreuves et la manière dont nous nous relevons qui importe. Parfois nous devons accepter d'être aidé pour nous relever... même si ce n'est pas facile dans cette société où seuls les gagnants sont adulés.

 

Souvenez-vous de ceci : Aux yeux de Dieu nous avons toutes et tous de la valeur... et nous ne sommes jamais vraiment seuls car Il est toujours à nos côtés, prêt à nous aider... il suffit juste de le Lui demander !

 

Bien à vous !

 

Georges Musy

A ceux qui n'y croiraient plus
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