Ajoutée le 15 nov. 2018
Cette vidéo, diffusée sur la chaîne franco-allemande ARTE en 2011, est la vidéo qui a permis de remettre au goût du jour une thérapie déjà pratiquée depuis longtemps. Vous découvrirez à travers cette vidéo les aspects historiques et scientifiques qui attestent de la cohérence de cette approche.
Rejeté de notre arsenal de soin, elle a depuis retrouvé ses lettres de noblesse et un nombre croissant de personnes l'utilisent pour recouvrer sa forme physique et son bien-être, en particulier pour le traitement d'un grand nombre de maladies chroniques.
Vous pouvez compléter cette vue en lisant le livre (voir ci-dessous) de l'auteur du rapport, Thierry de Lestrade.
Et s'il existait une alternative au "tout médicament" ? En Russie, en Allemagne et aux États-Unis, médecins et chercheurs étudient les effets étonnants du jeûne sur les patients. Une enquête aussi rigoureuse que troublante.
Dans les pays occidentaux, les cas de diabète, d’hypertension, d’obésité, de cancers se multiplient et la consommation de médicaments explose. Et s'il existait une autre voie thérapeutique ?
Depuis un demi-siècle, en Russie, en Allemagne et aux États-Unis, des médecins et des biologistes explorent une autre piste : le jeûne. Réputé pour sa source d'eau chaude, le sanatorium de Goriachinsk, dans la plaine sibérienne, est aussi connu pour son centre de jeûne, créé en 1995. Atteints d'asthme, de diabète, de rhumatisme, d'allergie… les patients, très encadrés, n'ingurgitent rien à part de l'eau durant douze jours en moyenne mais la cure se prolonge parfois trois semaines. Après la douloureuse crise d'acidose des débuts, ils se sentent plus en forme et les deux tiers voient leurs symptômes disparaître après une ou plusieurs cures. Remboursé, ce traitement s'appuie sur quarante ans d'études scientifiques, malheureusement non traduites, qui ont démarré sous l'ère soviétique. Bien qu'elles soient inconnues hors de Russie, des médecins et chercheurs occidentaux creusent aussi ce sillon, même si, aux pays du médicament-roi, ils bénéficient de peu de subventions.
Source : Boutique ARTE