Ci-dessus, un article qui est paru dans le magazine FUTUR.CH du mois de février 2013.
Un grand MERCI à Monika von Sury et à son mari Olivier pour leur disponibilité, leur écoute et la qualité de l'article.
Bien à vous !
Georges Musy
Ci-dessus, un article qui est paru dans le magazine FUTUR.CH du mois de février 2013.
Un grand MERCI à Monika von Sury et à son mari Olivier pour leur disponibilité, leur écoute et la qualité de l'article.
Bien à vous !
Georges Musy
Depuis 2 jours, vous pouvez écouter un extrait de mon livre "Burn-out, il y a une issue !" en vous rendant directement sur le site internet de mon éditeur, RDF Editions Sàrl.
En 2012, Le burn-out est hélas toujours d'actualité en Suisse. C'est même devenu un tabou au sein de nombreuses entreprises et des différentes associations qui traitent des Ressources Humaines (RH) et dont je fais partie depuis plusieurs années.
Ce livre n'a pas la prétention de résoudre tous les problèmes liés au burn-out. Toutefois, même s'il a été édité en 2006, il reste un ouvrage qui se veut préventif et qui donne une espérance pour chacun(e) car il y a bien une issue au burn-out ! Et j'en suis la preuve vivante !
Mon burn-out a été un véritable tremplin pour un changement d'orientation professionnelle et, depuis lors, j'arrive, par exemple, à mieux anticiper les situations de mauvais stress... Je suis à l'écoute de mon corps et de mon coeur et cela me permet d'éviter des problèmes qui me feraient plonger dans la déprime, la dépression, voire même un nouveau burn-out...
Le burn-out m'a aussi permis de m'interroger sur le véritable sens de ma vie. Il a changé ma façon de penser, de voir les gens et les choses de manière différente.
Bien à vous !
Georges Musy
Pour celles et ceux que cela intéresse, le DVD sur ma conférence concernant le burn-out est toujours disponible auprès de la boutique de Theomedia au prix de CHF 19.90 (+ frais de port).
Enfin, il vous est aussi possible de commander mon livre "Burn-out, il y a une issue !" auprès de la boutique de Theomedia au prix de CHF 18.50 (+ frais de port) ou directement auprès de mon éditeur au prix de CHF 15.00 (+ frais de port).
Bien à vous !
Georges Musy
PS: Vous pouvez également visionner mon témoignage en cliquant sur le lien internet ci-dessous.
Le « burn-out » est un épuisement anxio-dépressif. Autrement dit, le syndrome du « burn-out » est un état d’épuisement (état de fatigue extrême) au niveau physique, psychique et émotionnel qui s’installe après un effort continu et excessif, des exigences trop grandes pour être satisfaites ou après une lutte vaine contre des abus (impuissance acquise contre le harcèlement moral ou « mobbing ». Le concept a été utilisé pour la première fois dans les années 70 par le psychanalyste américain Herbert J. Freudenberger.
Le syndrome de l’épuisement anxio-dépressif (burn-out) vu par un consultant en entreprise, Johannes Czwalina : (tirage préliminaire du chapitre « Burn-out », extrait du livre de Johannes Czwalina « Der Markt hat keine Seele – Zwischen Leistungsdruck und Lebensqualität - le marché n’a pas d’âme - Entre la contrainte du rendement et la qualité de la vie, lequel est paru au printemps 2001 aux Editions « Frankfurter Allgemeine ». (Journal ASMAC 2/2001)
Parmi tous les drogués, c’est le drogué du travail qui jouit du plus grand prestige. Et fait remarquable : notre économie a absolument besoin de ce type de drogué. A l’heure actuelle, les chances de trouver un emploi sont particulièrement favorables à un nombre de plus en plus grand de personnes qui portent en elles les stigmates, identifiables (pour l’œil exercé) de cette dépendance.
Les symptômes du « burn-out » ont toujours existé, en revanche ce qui est nouveau, c’est qu’ils se propagent à la manière d’une épidémie. Chacun sait que les machines ont besoin d’être examinées, entretenues, nettoyées, revues, afin que leur capacité de production puisse être maintenue et améliorée. Mais que l’être humain nécessite plus de soins pour conserver sa capacité de performance, c’est ce qu’oublient la plupart des gens. Ils s’étonnent quand, brusquement, tous les signaux lumineux se mettent à clignoter, par exemple sous la forme d’un sentiment d’épuisement complet et d’un vide mental, accompagné d’épuisement physique et d’un cortège de symptômes : inhibition (autocensure), anxiété, dépression, insomnie, nervosité, manque d’appétit, manque de concentration, irritabilité, etc. Le syndrome d’épuisement anxio-dépressif chronique est un tableau clinique complexe qui peut entraver massivement, souvent des années durant, la capacité de performance et la qualité de vie des sujets qui en sont atteints.
Le « burn-out » est une manifestation symptomatique de la phase tardive de notre société axée sur le rendement, résultat non seulement d’un engrenage de plus en plus puissant, mais aussi d’une déferlante d’informations simultanées que l’on ne parvient plus à traiter. Ce qui frappe en l’occurrence, c’est que les drogués du travail ne se rendent pas compte de leur maladie. Ils se mettent de plus en plus de tâches sur le dos, car il leur faut une provision de travail toujours renouvelée. Leur manière de travailler se caractérise par une précipitation et un manque de concentration de plus en plus marqués. Il en découle des heures supplémentaires pour rattraper ce qui n’a pas été fait. Il n’est pas rare qu’ils fassent appel aux somnifères et aux tranquillisants, au tabac, au café ou à l’alcool, ce qui dégrade un peu leur santé. Le cercle vicieux ne tarde pas à se refermer sur ces personnes en proie au désespoir. Pour finir, défaillances cardiaques, états anxieux, perforations intestinales, dépressions sont tout à coup inévitables. Sont particulièrement sujettes au « burn-out » les personnes ayant une faible estime de soi, car elles ne s’acceptent pas telles qu’elles sont réellement, tout en ayant un grand besoin de considération.
Le concept de « workaholic » est en relation avec le syndrome d’épuisement anxio-dépressif. On qualifie de workaholic quelqu’un qui s’adonne à son travail comme à une drogue, même si d’autres éléments de sa vie en pâtissent beaucoup ou sont complètement négligés. Le feu du travail brûle en lui. Il consume aussi les gens et les choses qu’auparavant il considérait comme important pour lui. A la fin, ce feu s’emparera également de sa propre personnalité et l’anéantira. Pour être consumé, il faut d’abord avoir brûlé. Les workaholics ont brûlé. Ils sont la proie d’une forme de toxicomanie. La drogue doit être toujours à disposition ; quand elle vient à manquer, il y a menace d’effondrement. La drogue du succès et de la considération remplace les relations humaines.
« Burn-out » ou « wear-out », c’est-à-dire épuisement anxio-dépressif, sont des termes modernes qui cernent particulièrement bien les lois internes de la situation actuelle : surmultipliées au maximum, les « voitures de courses » - auxquelles les cadres supérieurs peuvent être assimilés – sont lancées sur la piste comme si elles n’avaient à accomplir que cet unique parcours. C’est un fait que l’on ne calcule plus à la mesure de toute vie, mais à celle d’une seule course. Ce qui compte, c’est seulement le chiffre d’affaires de cette année. Ce qui vient après, on n’y pense pas aujourd’hui.
Les carriéristes ambitieux qui, parvenu au milieu de la quarantaine ou au début de la cinquantaine, se rendant compte que leur obsession vers l’avant va être définitivement freinée, tandis que l’accès aux sphères suprêmes est devenu illusoire, sont particulièrement guettés par le syndrome anxio-dépressif. S’efforçant de gagner en considération ou d’atteindre quand même l’objectif professionnel visé, ils redoublent d’efforts jusqu’à ce que se tarissent leurs réserves de forces, tandis que s’installe la résignation. Il semble que le fait d’abandonner ou de redéfinir ce qui était un objectif essentiel de l’existence soit l’équivalent d’une douloureuse amputation – une correction de parcours pouvant bien mettre en cause la voie suivie jusqu’ici.
Tous ceux qui sont atteints de ce syndrome ont un trait commun : Ils se trouvent dans un état permanent de consommation élevée d’énergie, sans que cette dernière soit suffisamment renouvelée ; c’est un peu comme si la batterie d‘une voiture n’était plus rechargée que par la dynamo, tout en devant fournir des performances de très haut niveau. Tout comme un alcoolique, le wokaholic notoire se charge de tâches jusqu’à n’en plus pouvoir. La démission intérieure succède au « burn-out » et pèse secrètement non seulement sur l’entreprise, mais également sur l’âme. Les jeunes gens frais émoulus de l’Université en sont tout particulièrement menacés.
Permettez-moi de faire un commentaire au sujet de ce qui précède. Depuis mon plus jeune âge (8-9 ans), j’ai régulièrement fait partie de sociétés (fanfare, harmonie, football, athlétisme), de divers comités (fanfare, harmonie, football, lutte) et d’autres associations. Pour quelles raisons ? Simplement parce que depuis toujours j’aime le contact avec les gens, je m’intéresse à l’autre, j’aime aider et transmettre mes connaissances… et j’aime apprendre, me former, me perfectionner ! C’est en moi et j’ai toujours eu ce besoin de communiquer et j’espère que je l’aurai toujours… Toutefois, chaque médaille à son revers ! A force de m’engager et de me donner à fond, à 100%, dans tout, au fil du temps je suis devenu un (ultra) perfectionniste tant sur le plan professionnel que lors de simples loisirs et ce, non seulement avec moi-même, mais également avec les autres. Ce que j’exigeais de moi, je l’attendais des autres en retour (parfois j’ai encore des rechutes… que ceux et celles qui en subissent les conséquences me pardonnent) et à chaque fois je fixais la barre plus haut, encore plus haut, toujours plus haut ; donc cela devenait de plus en plus inaccessible, tant pour moi que pour les autres. Et cela a duré des années avant que je craque pour de bon !
A ce propos, Dieu m’a montré un jour une sorte de « vidéo-clip » alors que je regardais un meeting d’athlétisme à la télévision. Il y avait un athlète qui faisait du saut en hauteur. Il faut déjà être à un très haut niveau pour passer 2 mètres 30 sans faire tomber la barre. Pour vous donner une petite idée, le champion du monde de saut en hauteur est le cubain Javier Sotomayor : il a franchi 2 mètres 45 et son record date de 1993… Puis il y a eu une séquence sur le saut à la perche. Sauter plus de 6 mètres, même avec une perche, n’est pas à la portée du premier venu non plus. Alors Dieu m’a montré que je mettais la barre si haut que c’était comme si je voulais concourir au saut à la perche… sans utiliser la perche ! Donc forcément ce n’était pas possible ! Pour la petite histoire, le record du monde de saut à la perche est encore détenu par l’Ukrainien Sergey Bubka avec un bond de 6 mètres 14 réalisé en 1994…
Une personne qui est perfectionniste, comme je l’étais, se prend souvent des grandes claques car la perfection est une utopie ! Au début cela peut fonctionner car la barre est mise à une hauteur acceptable. Alors, à chaque fois je mettais la barre un peu plus haut et un jour où l’autre il devenait difficile, puis impossible de franchir l’obstacle ! C’est un échec, puis un deuxième, puis un troisième… cela correspond à une frustration, une deuxième frustration, une troisième frustration… et cela mène tout droit au « burn-out », inéluctablement. Dieu m’a montré de remettre la barre à une hauteur correcte, soit à 80 centimètres… A moi de gérer mes futurs sauts sans retomber dans mes travers. Remarquez, j’ai encore de la marge car lorsque j’avais 15 ans, je sautais 1 mètre 73 selon la méthode de Dick Fosbury, soit le « fosbury-flop » (appui sur son pied droit - ou pied extérieur - en faisant pivoter son corps afin de franchir l'obstacle sur le dos)… Plaisanterie mise à part, depuis mon arrêt de travail en mai 2000, j’a également mis de côté le perfectionnisme. Cela n’a pas été toujours facile et, comme je l’ai déjà dit, il peut y avoir encore quelques rechutes, mais j’ai appris à remettre la barre plus bas, à être conscient de mes limites...
Vous venez de lire un bref résumé de mon livre "Consumé par l'intensité de la vie - Burn-out, il y a une issue!" qui est paru en novembre 2006 en Suisse romande, avec l'accord préalable de mon éditeur.
Bien à vous !
Georges Musy
Si vous êtes intéressé(e) par cet ouvrage, vous pouvez le commander à l'adresse suivante :
Editions RDF, rue des Fontaines 2, CH-1816 Chailly/Montreux
Tél. +41 21 964 65 01 Internet : www.rdf.ch e-mail : info@rdf.ch
Résumé du livre :
Un témoignage puissant, poignant et vrai, qui nous fait réfléchir à nos attitudes face à l'épuisement spirituel, psychique, intellectuel et physique. C'est ce que Georges Musy a vécu à 39 ans, entraîné dans le piège de l'activisme et du perfectionnisme, y compris l'activisme chrétien. Tout ce qui faisait sa vie professionnelle, familiale, amicale et ecclésiale, s'est effondré en même temps que lui.Le "burn-out" est bien plus courant qu'on ne le pense, et l'auteur montre quels sont les signes avant-coureurs qui doivent nous alerter.
Que ferons-nous si c'est à nous que cela arrive? Quel comportement aurons-nous si cela touche des membres de notre famille, des amis, des collègues de travail ou des personnes qui fréquentent la même église que nous? Serons-nous de ceux qui les enfoncent ou de ceux qui sauront tendre une main secourable et efficace?
Ce qu'a vécu Georges, et la manière dont il a pu s'en sortir nous concerne tous, car le "burn-out", de nos jours, rôde partout autour de nous.
Extrait de la préface de Michelle d'Astier de la Vigerie :
"Le livre de Georges Musy parle du piège de l'activisme, du surmenage dont il n'est pas question de se soucier puisque "en Dieu nous faisons des exploits", et d'une course pour être au top niveau spirituel, familial ou professionnel, et parfois les trois à la fois, ceci pour être conforme à ce que les autres attendent de vous et à l'idée que l'on s'est faite de ce que l'on devait être. Mais ce n'était pas ce que Dieu attendait de nous...
Ce témoignage nous interpelle aussi par rapport aux chrétiens qui exigent toujours des autres au-delà de ce qu'ils peuvent donner et qui n'acceptent pas qu'un responsable s'écroule: ils seront les premiers à lui enfoncer davantage la tête sous l'eau, par ce que ce frère n'est plus un fleuron de l'église locale et qu'ils en ont honte. D'ailleurs, puisqu'il déserte les cultes et les réunions de prières, c'est forcément un rétrograde, quelqu'un peut-être de dangereux car il pourrait en contaminer d'autres…"
(Format 14 x 21 cm, 152 pages, CHF 18.50 TTC, Éditions RDF Chailly/Montreux, 2006)
Si vous êtes intéressé(e) par cet ouvrage, vous pouvez le commander à l'adresse suivante :
Editions RDF, rue des Fontaines 2, CH-1816 Chailly/Montreux
Tél. +41 21 964 65 01 Internet : www.rdf.ch e-mail : info@rdf.ch
S’assurer d’avoir bien compris les raisons qui ont mené à l’épuisement est essentiel. Prendre le temps nécessaire pour refaire son énergie et soigner son corps l’est tout autant. S’entourer de toute l’aide nécessaire et poser ses exigences lorsque l’on se connaît mieux est un acte de prévention qui tiendra loin toute récidive. Travailler jour après jour à garder une bonne estime de soi est une sorte de passeport pour le mieux-être. Et surtout il faut rester vigilant à tous les signes physiques comme psychologiques qui sont autant de « lumières rouges » invitant à agir avant qu’il ne soit trop tard. (Marie Bérubé, psychologue)
La plupart des personnes que je connais qui ont fait un burn-out ont changé radicalement d'orientation professionnelle ou se sont remises profondément en question. C'est aussi mon cas et ce changement contribue beaucoup à mon retour en douceur dans ma nouvelle vie professionnelle. Quand je sens que je deviens trop stressé, alors je vais prendre l'air quelques minutes. Ou alors je quitte mon bureau (j'ai besoin de changer d'endroit) et je me relaxe en buvant un jus de fruit, un verre d'eau ou un café. Généralement, après 15 à 20 minutes je peux retourner sur ma place de travail et poursuivre ce que je faisais.
De même, si vers 16h00 je sens que je suis fatigué, je rentre plus tôt à la maison, sans culpabilité aucune, car je sais que je ne suis pas irremplaçable (les cimetières sont remplis de personnes irremplaçables)...Je ne perds pas des yeux les objectifs suivants que je me suis fixé, au risque parfois de déplaire à certaines personnes :
Je remercie Dieu pour Sa bonté, Sa patience et pour les changements qu'Il a opéré dans ma vie professionnelle. Je lui dois tout. C'est Lui qui a donné un sens à ma vie et c'est Lui qui m'a permis de me sortir du burn-out et de changer.
J'espère que ces différents articles pourront vous aider à mieux comprendre le burn-out. Alors si vous connaissez une personne dans votre entourage (ami, famille, collègue, etc.) ou si vous-même êtes pris(e) en plein tourbillon du burn-out, sachez qu'une tempête, un ouragan ou un cyclone fini toujours par s'arrêter. Certes, ce n'est pas facile de traverser une tempête, mais le soleil n'est pas très loin.
Et surtout, ne devancez pas votre corps en tentant un retour prématuré sur votre lieu de travail car le résultat peut être catastrophique.
Le burn-out se soigne. J'ai aussi du prendre des médicaments (anti-dépresseurs, somnifères) pendant un certain temps pour m'aider à reprendre un rythme qui correspond à ma personne.
J'ai mis 28 mois pour m'en sortir; certains mettent moins de temps, d'autres davantage... Nous sommes toutes et tous différents face à la maladie. Nos corps n'ont pas tous la même capacité de récupération, alors il est inutile de mettre la charrue avant les boeufs, même si c'est un moment douloureux à passer.
Voici quelques sites Internet qui pourront sans doute vous aider à mieux comprendre cette maladie du 21ème siècle qui va hélas en croissant dans notre pays...
http://www.swiss-burnout.ch/index.php?id=4&L=1
https://www.burnout-institute.org/index.php
https://www.rts.ch/services/recherche/?q=burn-out
http://stephanne.over-blog.com/
Bien à vous !
Georges Musy
Bonjour, vous êtes toutes et tous cordialement invité(e)s à la conférence sur le burn-out que je donnerai ce vendredi 30 septembre 2011 à 20h00 dans les locaux de l'Eglise Evangélique EESV, Sous-Ville 3 (près de la gare CFF) à Avenches...
L'entrée est totalement LIBRE et vous êtes les bienvenu(e)s !
Sachez qu'il y a une ou plusieurs issues au burn-out ! Et il y a également une nouvelle vie après le burn-out !
Je reste volontiers à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire dont vous pourriez avoir besoin.
Bien à vous !
Georges Musy
Le repos seul ne guérit pas le burn-out. Les solutions résident dans la modification et le changement, qu’il s’agisse d’un changement d’environnement de travail, de mode de vie, de philosophie ou de vision du monde.
D'après mon expérience personnelle, la clé vers la reconstruction, puis vers la guérison est de reconnaître puis accepter son état. C’est ce que j’ai fait et c’est de cette manière que j’ai pu me laisser soigner.
Faites de votre vie physique une priorité
Faites de votre vie mentale une priorité
Faites de votre vie spirituelle une priorité
Pour autant que vous soyiez chrétien, je vous encourage vivement à pratiquer les points ci-dessous de manière assidue :
« Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entier, et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ ! » (1 Thessaloniciens 5 ; 23)
Bien à vous !
Georges Musy
Il est important, surtout à notre époque et notamment en Suisse où nous courrons, le plus souvent, comme des fous (après quoi ?), de nous interroger sur le véritable sens de notre vie.
Sommes-nous destinés à :
Certes, la société - notre société - actuelle nous pousse à vivre comme des fous, sans que la plupart d’entre nous se posent les questions fondamentales telles que :
Donc si vous prenez le temps de vous arrêter, de vous reposer dans un endroit calme et de vous poser les vraies questions, je pense que vous pouvez éviter de passer par un repos forcé – ce qui a été mon cas – car le prix à payer peut être très élevé.
En ce qui me concerne, depuis mon épreuve, je sais que rien ne sera plus jamais comme avant dans ma vie parce que j’ai appris à :
"Il y a une vie après le burn-out ! Mais pas n’importe laquelle : « c’est une renaissance à la Vie, essentiellement guidée par une nouvelle énergie, en accordant de son temps à sa vie sociale et en considérant davantage sa vie affective." (Lire le témoignage Stéph-Anne sur son site http://stephanne.over-blog.com/)
Vous pouvez également, si vous le désirez, découvrir mon témoignage complet sur mon burn-out en lisant le livre que j’ai écrit : « Burn-out, il y a une issue ! » paru aux éditions RDF à Chailly/Montreux (www.rdf.ch) en novembre 2006.
Bien à vous !
Georges Musy
Il y a au moins quatre types de symptômes qui peuvent annoncer un burn-out... Il vous appartient de faire votre propre bilan pour savoir si vous êtes concerné/e en lisant ce qui suit...
Si vous souffrez de quelques uns de ces symptômes, alors je vous conseille vivement de consulter votre médecin car le burn-out ne doit pas être pris à la légère...
Je vous invite également à lire les autres articles que j'ai écrit sur ce sujet, notamment celui qui détaille les symptômes du burn-out...
Bien entendu, vous pouvez aussi acheter mon livre en le commandant directement auprès des éditions RDF en vous rendant sur le site http://www.rdf.ch/
Bien à vous !
Georges Musy