Salut ! Ma maman m'a coupé les cheveux...
C'est plutôt bien réussi non ?
A bientôt !
Salut ! Ma maman m'a coupé les cheveux...
C'est plutôt bien réussi non ?
A bientôt !
C'est un docteur qui, sans faire dans la dentelle, déclare à son patient :
- J'ai une mauvaise et une très mauvaise nouvelle à vous annoncer.
- Commencez par la mauvaise, lui répond le patient.
- J'ai reçu les résultats de vos tests. L'analyse indique clairement qu'il ne vous reste plus que 2 jours à vivre.
- 2 JOURS !!!!! OH MON DIEU C'EST HORRIBLE ! Et vous dites que vous avez une nouvelle encore plus mauvaise à m'annoncer ?
- Oui, ça fait depuis hier que j'essaie de vous joindre pour vous l'annoncer...
Maurice André restera dans les annales comme le plus grand trompettiste classique, né à Rochebelle, faubourg jadis minier d'Alès, dans le Gard, le 21 mai 1933 dans une famille de mineurs.
Il descend à la mine de 14 à 18 ans, tout en commençant à étudier la trompette, avec comme premier professeur son père, grand amoureux de musique classique.
Au Conservatoire de Paris, où il entre en 1951 après s'être engagé, il est l’élève de Sabarich et obtient un premier prix d'honneur de cornet et un premier prix de trompette. Rapidement, il s’impose comme la figure marquante d’une génération de trompettistes français : il est trompette solo aux concerts de l'Orchestre Lamoureux, de 1953 à 1960, à l'Orchestre philarmonique de l'ORTF, de 1953 à 1963 et à l'Opéra Comique, de 1962 à 1967.
Il joue
en soliste et sa carrière prend un essor international avec les prix qu’il remporte aux concours de Genève (1955) et de Munich (1963). De 1967 à 1978, il est professeur au
Conservatoire de Paris, où il introduit la petite trompette pour le répertoire baroque. Il y forme plus de cent trompettistes, parmi lesquels les plus connus d'entre eux sont Bernard
Soustrot, Guy Touvron, Eric Aubier et Thierry Caens.
Maurice André a considérablement fait évoluer le jeu de la trompette, qui est devenue, grâce à lui, un instrument virtuose, mais surtout, un instrument mélodique. Bon nombre d'œuvres baroques et classiques, tombées dans l’oubli en raison de leur difficulté technique (usage presque exclusif des tessitures aiguës) ont été ressuscitées grâce à lui.
Il a travaillé, en se basant sur un prototype des années 50, en étroite liaison avec une célèbre marque qui fabrique, sur ses directives, une trompette piccolo en si bémol aigu à quatre pistons spécialement adaptée à ce répertoire.
La trompette connaît, grâce à lui, une popularité nouvelle qui entraîne de nombreux émules dans son sillage. Il a suscité aussi des partitions nouvelles : les concertos d’Henri Tomasi, de Boris Blacher et de Marcel Landowski, Heptade, Arioso barocco et autres concertos d’André Jolivet, sans oublier les œuvres d’Antoine Tisné, de Germaine Tailleferre et de Jean-Claude Eloy.
Sous son impulsion, la trompette a retrouvé les lettres de noblesse qu’elle avait acquises au 18ème siècle et l’école française s’est imposée comme la plus importante de la fin du 20ème siècle.
Personnellement, j'ai été très influencé par Louis Armstrong dès que j'ai commencé à jouer de la trompette en 1968, à l'âge de 7 ans... Ensuite, vers 12 ans, j'ai découvert Maurice André et c'est ainsi que j'ai appris à aimer la musique classique.
Maurice André a toujours été un modèle pour moi et, même si j'ai totalement arrêté de jouer de la trompette depuis mai 2000, j'aime écouter des concertos pour trompette interprétés par celui qui, à mes yeux, restera le maître absolu de la trompette classique et de la trompette piccolo...
C'est à l'âge de 75 ans, après 56 ans d'une carrière bien remplie, que Maurice André a donné son dernier concert. C'était le 8 octobre 2008, à la Cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, devant un parterre de 600 mélomanes (voir édition du Midi Libre du jeudi 9 octobre 2008).
Il habite désormais au Pays Basque où il pratique principalement la peinture et la sculpture...
Bien à vous !
Georges Musy
Sources :
"Tiens, il y a belle lurette que je ne l'avais pas vu !" ou "Je l'ai connu il y a belle lurette" sont des expressions relativement récentes encore très utilisées de nos jours.
Au 19ème siècle, le mot "heurette" signifiait "une petite heure".
L'expression "il y a belle lurette" est une déformation de "il y a belle heurette", qui qualifiait à l'époque une durée indéterminable.
En résumé, "il y a belle lurette" signifie il y a bien longtemps !
Bien à vous !
Georges Musy
"Notre attitude
davantage que nos aptitudes
détermine notre altitude."
Personnellement, j'aime beaucoup cette citation que Michel partage régulièrement lors de diverses réunions. En effet, notamment devant les difficultés, c'est notre attitude qui va être "jugée" et ce, davantage que nos aptitudes à réaliser telle ou telle chose. Et je peux choisir mon attitude en toutes circonstances. C'est moi qui décide si je vais faire la moue ou si je vais être positif...
Si nous affrontons nos difficultés avec optimisme et, qu'avec l'aide de Dieu, nous sommes déterminés à vaincre, alors nous obtiendrons la victoire. Par contre, même si nous avons reçu de nombreux dons (talents) et que nous montrons une attitude défaitiste, nous aurons peu de chance de nous en sortir.
Nos attitudes relèvent de nos choix, pas de nos talents reçus de façon innée.
Maîtriser son attitude, c'est la vraie maîtrise de soi. Ce n'est pas toujours facile - et là je prêche en premier lieu pour moi - mais cela peut s'apprendre... surtout à la suite d'un échec !
Bien à vous !
Georges Musy
Deux belges discutent ensemble dans un bar. Le premier dit : Tu sais quoi une fois ? Je viens de battre un record !
- Ah bon, répond l'autre... et lequel ?
- J'ai réussi à faire un puzzle en 15 jours !
- Qu'y-a-t-il d'extraordinaire à cela ? demande le deuxième
- Ben... répond le premier, dessus le puzzle c'était inscrit de 3 à 5 ans !
Aujourd'hui, maman m'a permis de faire un cake...
J'aime beaucoup cuisiner et aider ma maman...
Et je m'applique bien...
car j'ai à coeur de réussir ce que je suis en train de faire !
C'est chouette de casser des oeufs...
Là je me concentre à fond !
C'est vraiment super...
Je sens que nous allons nous régaler !
Hier matin, je suis allé visiter la ménagerie ambulante
du cirque Knie à Fribourg avec mon papa...
J'ai pu y voir des animaux bien très bien soignés...
Il y avait des chameaux...
des zèbres...
des lamas...
des chevaux magnifiques...
des ponneys...
un âne...
des éléphants d'Afrique...
et j'ai pu faire plusieurs tours de manège
avec d'autres enfants...
assis sur un joli ponney blanc !
J'ai également pu assister à une répétition avec plusieurs chevaux
sous le grand chapiteau du cirque !
L'un des chameaux m'a aussi beaucoup amusé...
Il jouait avec un appareil qui contient du sel...
Papa m'a expliqué que le chameau a deux bosses
et le dromadaire une seule...
J'ai aussi bien aimé ce joli couple de zèbres...
J'ai vraiment passé une très jolie matinée !
Et je me réjouis de remonter sur un ponney...
Merci papa !